Pffou ... j'ai d'abord sauté des passages, puis des pages et me suis finalement arrêtée 10 pages avant la fin.
La précision sur l'écriture inclusive m'avait bien sûr alertée mais je ne pensais pas que ça serait aussi insupportable.
Je partage la plupart des idées exprimées (poids de la religion, poids des violences psychologiques, culpabilisation des mères) et reste convaincue que la lutte féministe ne doit pas s'arrêter.
Mais vraiment ce fatras d'idées qui amalgame Alice Miller et transsexualité, développement personnel et patronat, dénature le propos.
Il arrive même à faire oublier l'intention d'origine à force d'agacement.