C’est l’histoire d’un jeune homme qui perd sa mère, et qui décide d’aller découvrir le monde. On y découvre un personnage qui est passionné de fleurs, passion qui lui a été inculqué par sa mère. On y découvre l’Islande, terre rocheuse sur laquelle peu de choses y poussent. On y découvre un être sensible, qui veut préserver la rose de sa mère.
La rosa candida, comme le titre du livre.
22 ans, et il nous raconte son histoire. De périples en périples, la fleur a failli être détruite. Et il réussit à arriver à bon port, un bourg calme, dans un autre pays, où il doit se familiariser avec la langue.
On y découvre l’histoire de sa famille, de son enfance, de ses parents. La douleur qu’elle a laissé après son départ pour l’au-delà. Et puis, on y découvre une personne qui ne voulait pas devenir adulte, et qui va devenir père, et ensuite compagnon. Pour redevenir seulement père.
La spiritualité est très présente dans la deuxième partie du livre, comme une sorte de naissance, ou de renaissance.
Et puis l’apprivoisement de sa fille, de son chez soi, de la vie d’adulte. Et avec une chute très belle, on retourne au titre. Comme la boucle qui se boucle, le destin.
C’est une lecture simple, douce pour le cœur, et l’âme. Avec beaucoup de références de cinéma, de spiritualité chrétienne, et de jardinage.