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Le 10 août 2024
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livre de Vincent Lahouze
RĂ©sumĂ© : « Si je devais me souvenir d’une chose, d’une seule chose, ce serait la vision des murs gris de l’Orphelinat du Bienestar de MedellĂn et des portes qui claquaient lorsque nous courions dans les couloirs, le bruit sourd de mes pieds nus sur le parquet de bois dĂ©lavĂ© et poussiĂ©reux. Oui, d’aussi loin que je me souvienne, la couleur n’existait pas. Je suis nĂ© en Colombie, Ă la fin de l’annĂ©e 1987 mais je n’ai commencĂ© Ă vivre qu’en 1991. »
livre de Vincent Lahouze
RĂ©sumĂ© : « Si je devais me souvenir d’une chose, d’une seule chose, ce serait la vision des murs gris de l’Orphelinat du Bienestar de MedellĂn et des portes qui claquaient lorsque nous courions dans les couloirs, le bruit sourd de mes pieds nus sur le parquet de bois dĂ©lavĂ© et poussiĂ©reux. Oui, d’aussi loin que je me souvienne, la couleur n’existait pas. Je suis nĂ© en Colombie, Ă la fin de l’annĂ©e 1987 mais je n’ai commencĂ© Ă vivre qu’en 1991. »
livre de Vincent Lahouze
RĂ©sumĂ© : « Si je devais me souvenir d’une chose, d’une seule chose, ce serait la vision des murs gris de l’Orphelinat du Bienestar de MedellĂn et des portes qui claquaient lorsque nous courions dans les couloirs, le bruit sourd de mes pieds nus sur le parquet de bois dĂ©lavĂ© et poussiĂ©reux. Oui, d’aussi loin que je me souvienne, la couleur n’existait pas. Je suis nĂ© en Colombie, Ă la fin de l’annĂ©e 1987 mais je n’ai commencĂ© Ă vivre qu’en 1991. »
livre de Vincent Lahouze
RĂ©sumĂ© : « Si je devais me souvenir d’une chose, d’une seule chose, ce serait la vision des murs gris de l’Orphelinat du Bienestar de MedellĂn et des portes qui claquaient lorsque nous courions dans les couloirs, le bruit sourd de mes pieds nus sur le parquet de bois dĂ©lavĂ© et poussiĂ©reux. Oui, d’aussi loin que je me souvienne, la couleur n’existait pas. Je suis nĂ© en Colombie, Ă la fin de l’annĂ©e 1987 mais je n’ai commencĂ© Ă vivre qu’en 1991. »
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RĂ©sumĂ© : « Si je devais me souvenir d’une chose, d’une seule chose, ce serait la vision des murs gris de l’Orphelinat du Bienestar de MedellĂn et des portes qui claquaient lorsque nous courions dans les couloirs, le bruit sourd de mes pieds nus sur le parquet de bois dĂ©lavĂ© et poussiĂ©reux. Oui, d’aussi loin que je me souvienne, la couleur n’existait pas. Je suis nĂ© en Colombie, Ă la fin de l’annĂ©e 1987 mais je n’ai commencĂ© Ă vivre qu’en 1991. »
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RĂ©sumĂ© : « Si je devais me souvenir d’une chose, d’une seule chose, ce serait la vision des murs gris de l’Orphelinat du Bienestar de MedellĂn et des portes qui claquaient lorsque nous courions dans les couloirs, le bruit sourd de mes pieds nus sur le parquet de bois dĂ©lavĂ© et poussiĂ©reux. Oui, d’aussi loin que je me souvienne, la couleur n’existait pas. Je suis nĂ© en Colombie, Ă la fin de l’annĂ©e 1987 mais je n’ai commencĂ© Ă vivre qu’en 1991. »
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RĂ©sumĂ© : « Si je devais me souvenir d’une chose, d’une seule chose, ce serait la vision des murs gris de l’Orphelinat du Bienestar de MedellĂn et des portes qui claquaient lorsque nous courions dans les couloirs, le bruit sourd de mes pieds nus sur le parquet de bois dĂ©lavĂ© et poussiĂ©reux. Oui, d’aussi loin que je me souvienne, la couleur n’existait pas. Je suis nĂ© en Colombie, Ă la fin de l’annĂ©e 1987 mais je n’ai commencĂ© Ă vivre qu’en 1991. »
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RĂ©sumĂ© : « Si je devais me souvenir d’une chose, d’une seule chose, ce serait la vision des murs gris de l’Orphelinat du Bienestar de MedellĂn et des portes qui claquaient lorsque nous courions dans les couloirs, le bruit sourd de mes pieds nus sur le parquet de bois dĂ©lavĂ© et poussiĂ©reux. Oui, d’aussi loin que je me souvienne, la couleur n’existait pas. Je suis nĂ© en Colombie, Ă la fin de l’annĂ©e 1987 mais je n’ai commencĂ© Ă vivre qu’en 1991. »
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