Désolé Bernard
J’ai beaucoup aimé Werber par le passé, mais la non…. Désolé mais non. Un chat avec un branchement USB pour avoir accès à internet et ainsi à la connaissance humaine, et combattre les rats, non, n’en...
le 30 déc. 2022
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Suite du décevant « Demain les chats », « Sa majesté des chats » reprend les mêmes personnages et continue le récit là où on s’était arrêté précédemment. On suit alors les (més)aventures de la chatte Bastet, toujours aussi égoïste, mais c'est évidemment voulu car elle va forcément évoluer et cela permet de mieux apprécier les qualités des autres protagonistes, notamment l'intelligence de son fidèle compagnon Pythagore, le courage de sa maîtresse Nathalie qu'elle appelle « sa servante humaine », ou encore la fougue de son chaton Angelo. Tout ce petit monde accompagné de chats et d’humains rescapés se retrouve sur l'île de la Cité, les rats étant en passe de devenir les maîtres du monde, avec à leur tête Tamerlan, un rat blanc aux yeux rouges équipé comme Pythagore d'un troisième œil. Bastet et sa bande vont alors chercher des moyens de s’échapper et des alliés afin de vaincre cette véritable marée grise. Comment vont-ils s'y prendre ? C’est ce que le livre raconte, entre deux pages extraites de l’Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu, devenue désormais un objet de convoitise menacé car téléchargée sur une clé USB ! Si Bernard Werber continue à faire parler les animaux pour mieux comprendre les humains et faire de ses derniers les responsables de l’état actuel de la planète, il n’oublie pas non plus comme dans « Sa majesté des mouches » dont son tire s’inspire, de dessiner un nouvel ordre social. Si ce roman est plus captivant que le précédent car on y trouve pas mal de personnages intéressants et certaines références à Orwell (cf. « La ferme des animaux »), on pourra toutefois regretter que ce soit parfois répétitif et ponctué par certaines facilités scénaristiques, ce qui peut nuire à la lecture. Néanmoins et malgré certaines critiques qui diront que ce n’est pas de la grande littérature, cela reste assez plaisant à lire et ce n’est déjà pas si mal ma bonne dame !
Créée
le 23 janv. 2022
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