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2021 • livre de Guillaume Le Disez, Marie Casabonne, Fred Pizzoferrato et Claude Gaillard
Résumé : Un cinéma qui tue mais ne veut pas mourir. Dès la fin des années 70, le succès de Halloween de John Carpenter engendre une vague de films à tueurs masqués dont l’unique activité est d’assassiner des adolescents à l’arme blanche. Le slasher est à la mode et fait de la mise à mort un spectacle. Mieux encore, il introduit le concept du croquemitaine stylisé qui, imparablement, doit devenir une figure de la culture pop. Maintes fois enterré, le genre finit toujours par renaître de ses cendres, à l’image de ses inoxydables psychopathes, s’adaptant à l’air du temps et aux nouvelles générations de spectatrices et spectateurs. La longévité du slasher s’explique par sa dimension symbolique. Ces contes de fées modernes, à l’apparente crétinerie, sont aussi et surtout des miroirs tendus à la société. Satyre sociale, le slasher nous en dit plus qu’il ne laisse paraître, sa profondeur se retrouve dans la grossièreté de ses traits et son progressisme dans ses personnages féminins quasi-toujours victorieux... En définitive, le slasher n’est pas près de mourir, mais il a déjà un lourd passé sur lequel il est temps de revenir. Au travers de dossiers, d’articles, de tops et d’interviews composés par des auteurs et des experts de tous horizons, Slashers explore de manière ludique et éclectique la place spéciale de ce genre déconsidéré mais adulé au sein de la culture populaire.
2021 • livre de Guillaume Le Disez, Marie Casabonne, Fred Pizzoferrato et Claude Gaillard
Résumé : Un cinéma qui tue mais ne veut pas mourir. Dès la fin des années 70, le succès de Halloween de John Carpenter engendre une vague de films à tueurs masqués dont l’unique activité est d’assassiner des adolescents à l’arme blanche. Le slasher est à la mode et fait de la mise à mort un spectacle. Mieux encore, il introduit le concept du croquemitaine stylisé qui, imparablement, doit devenir une figure de la culture pop. Maintes fois enterré, le genre finit toujours par renaître de ses cendres, à l’image de ses inoxydables psychopathes, s’adaptant à l’air du temps et aux nouvelles générations de spectatrices et spectateurs. La longévité du slasher s’explique par sa dimension symbolique. Ces contes de fées modernes, à l’apparente crétinerie, sont aussi et surtout des miroirs tendus à la société. Satyre sociale, le slasher nous en dit plus qu’il ne laisse paraître, sa profondeur se retrouve dans la grossièreté de ses traits et son progressisme dans ses personnages féminins quasi-toujours victorieux... En définitive, le slasher n’est pas près de mourir, mais il a déjà un lourd passé sur lequel il est temps de revenir. Au travers de dossiers, d’articles, de tops et d’interviews composés par des auteurs et des experts de tous horizons, Slashers explore de manière ludique et éclectique la place spéciale de ce genre déconsidéré mais adulé au sein de la culture populaire.
2021 • livre de Guillaume Le Disez, Marie Casabonne, Fred Pizzoferrato et Claude Gaillard
Résumé : Un cinéma qui tue mais ne veut pas mourir. Dès la fin des années 70, le succès de Halloween de John Carpenter engendre une vague de films à tueurs masqués dont l’unique activité est d’assassiner des adolescents à l’arme blanche. Le slasher est à la mode et fait de la mise à mort un spectacle. Mieux encore, il introduit le concept du croquemitaine stylisé qui, imparablement, doit devenir une figure de la culture pop. Maintes fois enterré, le genre finit toujours par renaître de ses cendres, à l’image de ses inoxydables psychopathes, s’adaptant à l’air du temps et aux nouvelles générations de spectatrices et spectateurs. La longévité du slasher s’explique par sa dimension symbolique. Ces contes de fées modernes, à l’apparente crétinerie, sont aussi et surtout des miroirs tendus à la société. Satyre sociale, le slasher nous en dit plus qu’il ne laisse paraître, sa profondeur se retrouve dans la grossièreté de ses traits et son progressisme dans ses personnages féminins quasi-toujours victorieux... En définitive, le slasher n’est pas près de mourir, mais il a déjà un lourd passé sur lequel il est temps de revenir. Au travers de dossiers, d’articles, de tops et d’interviews composés par des auteurs et des experts de tous horizons, Slashers explore de manière ludique et éclectique la place spéciale de ce genre déconsidéré mais adulé au sein de la culture populaire.
2021 • livre de Guillaume Le Disez, Marie Casabonne, Fred Pizzoferrato et Claude Gaillard
Résumé : Un cinéma qui tue mais ne veut pas mourir. Dès la fin des années 70, le succès de Halloween de John Carpenter engendre une vague de films à tueurs masqués dont l’unique activité est d’assassiner des adolescents à l’arme blanche. Le slasher est à la mode et fait de la mise à mort un spectacle. Mieux encore, il introduit le concept du croquemitaine stylisé qui, imparablement, doit devenir une figure de la culture pop. Maintes fois enterré, le genre finit toujours par renaître de ses cendres, à l’image de ses inoxydables psychopathes, s’adaptant à l’air du temps et aux nouvelles générations de spectatrices et spectateurs. La longévité du slasher s’explique par sa dimension symbolique. Ces contes de fées modernes, à l’apparente crétinerie, sont aussi et surtout des miroirs tendus à la société. Satyre sociale, le slasher nous en dit plus qu’il ne laisse paraître, sa profondeur se retrouve dans la grossièreté de ses traits et son progressisme dans ses personnages féminins quasi-toujours victorieux... En définitive, le slasher n’est pas près de mourir, mais il a déjà un lourd passé sur lequel il est temps de revenir. Au travers de dossiers, d’articles, de tops et d’interviews composés par des auteurs et des experts de tous horizons, Slashers explore de manière ludique et éclectique la place spéciale de ce genre déconsidéré mais adulé au sein de la culture populaire.
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Résumé : Un cinéma qui tue mais ne veut pas mourir. Dès la fin des années 70, le succès de Halloween de John Carpenter engendre une vague de films à tueurs masqués dont l’unique activité est d’assassiner des adolescents à l’arme blanche. Le slasher est à la mode et fait de la mise à mort un spectacle. Mieux encore, il introduit le concept du croquemitaine stylisé qui, imparablement, doit devenir une figure de la culture pop. Maintes fois enterré, le genre finit toujours par renaître de ses cendres, à l’image de ses inoxydables psychopathes, s’adaptant à l’air du temps et aux nouvelles générations de spectatrices et spectateurs. La longévité du slasher s’explique par sa dimension symbolique. Ces contes de fées modernes, à l’apparente crétinerie, sont aussi et surtout des miroirs tendus à la société. Satyre sociale, le slasher nous en dit plus qu’il ne laisse paraître, sa profondeur se retrouve dans la grossièreté de ses traits et son progressisme dans ses personnages féminins quasi-toujours victorieux... En définitive, le slasher n’est pas près de mourir, mais il a déjà un lourd passé sur lequel il est temps de revenir. Au travers de dossiers, d’articles, de tops et d’interviews composés par des auteurs et des experts de tous horizons, Slashers explore de manière ludique et éclectique la place spéciale de ce genre déconsidéré mais adulé au sein de la culture populaire.
Le 8 nov. 2023
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2021 • livre de Guillaume Le Disez, Marie Casabonne, Fred Pizzoferrato et Claude Gaillard
Résumé : Un cinéma qui tue mais ne veut pas mourir. Dès la fin des années 70, le succès de Halloween de John Carpenter engendre une vague de films à tueurs masqués dont l’unique activité est d’assassiner des adolescents à l’arme blanche. Le slasher est à la mode et fait de la mise à mort un spectacle. Mieux encore, il introduit le concept du croquemitaine stylisé qui, imparablement, doit devenir une figure de la culture pop. Maintes fois enterré, le genre finit toujours par renaître de ses cendres, à l’image de ses inoxydables psychopathes, s’adaptant à l’air du temps et aux nouvelles générations de spectatrices et spectateurs. La longévité du slasher s’explique par sa dimension symbolique. Ces contes de fées modernes, à l’apparente crétinerie, sont aussi et surtout des miroirs tendus à la société. Satyre sociale, le slasher nous en dit plus qu’il ne laisse paraître, sa profondeur se retrouve dans la grossièreté de ses traits et son progressisme dans ses personnages féminins quasi-toujours victorieux... En définitive, le slasher n’est pas près de mourir, mais il a déjà un lourd passé sur lequel il est temps de revenir. Au travers de dossiers, d’articles, de tops et d’interviews composés par des auteurs et des experts de tous horizons, Slashers explore de manière ludique et éclectique la place spéciale de ce genre déconsidéré mais adulé au sein de la culture populaire.
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Résumé : Un cinéma qui tue mais ne veut pas mourir. Dès la fin des années 70, le succès de Halloween de John Carpenter engendre une vague de films à tueurs masqués dont l’unique activité est d’assassiner des adolescents à l’arme blanche. Le slasher est à la mode et fait de la mise à mort un spectacle. Mieux encore, il introduit le concept du croquemitaine stylisé qui, imparablement, doit devenir une figure de la culture pop. Maintes fois enterré, le genre finit toujours par renaître de ses cendres, à l’image de ses inoxydables psychopathes, s’adaptant à l’air du temps et aux nouvelles générations de spectatrices et spectateurs. La longévité du slasher s’explique par sa dimension symbolique. Ces contes de fées modernes, à l’apparente crétinerie, sont aussi et surtout des miroirs tendus à la société. Satyre sociale, le slasher nous en dit plus qu’il ne laisse paraître, sa profondeur se retrouve dans la grossièreté de ses traits et son progressisme dans ses personnages féminins quasi-toujours victorieux... En définitive, le slasher n’est pas près de mourir, mais il a déjà un lourd passé sur lequel il est temps de revenir. Au travers de dossiers, d’articles, de tops et d’interviews composés par des auteurs et des experts de tous horizons, Slashers explore de manière ludique et éclectique la place spéciale de ce genre déconsidéré mais adulé au sein de la culture populaire.
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Résumé : Un cinéma qui tue mais ne veut pas mourir. Dès la fin des années 70, le succès de Halloween de John Carpenter engendre une vague de films à tueurs masqués dont l’unique activité est d’assassiner des adolescents à l’arme blanche. Le slasher est à la mode et fait de la mise à mort un spectacle. Mieux encore, il introduit le concept du croquemitaine stylisé qui, imparablement, doit devenir une figure de la culture pop. Maintes fois enterré, le genre finit toujours par renaître de ses cendres, à l’image de ses inoxydables psychopathes, s’adaptant à l’air du temps et aux nouvelles générations de spectatrices et spectateurs. La longévité du slasher s’explique par sa dimension symbolique. Ces contes de fées modernes, à l’apparente crétinerie, sont aussi et surtout des miroirs tendus à la société. Satyre sociale, le slasher nous en dit plus qu’il ne laisse paraître, sa profondeur se retrouve dans la grossièreté de ses traits et son progressisme dans ses personnages féminins quasi-toujours victorieux... En définitive, le slasher n’est pas près de mourir, mais il a déjà un lourd passé sur lequel il est temps de revenir. Au travers de dossiers, d’articles, de tops et d’interviews composés par des auteurs et des experts de tous horizons, Slashers explore de manière ludique et éclectique la place spéciale de ce genre déconsidéré mais adulé au sein de la culture populaire.
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Résumé : Un cinéma qui tue mais ne veut pas mourir. Dès la fin des années 70, le succès de Halloween de John Carpenter engendre une vague de films à tueurs masqués dont l’unique activité est d’assassiner des adolescents à l’arme blanche. Le slasher est à la mode et fait de la mise à mort un spectacle. Mieux encore, il introduit le concept du croquemitaine stylisé qui, imparablement, doit devenir une figure de la culture pop. Maintes fois enterré, le genre finit toujours par renaître de ses cendres, à l’image de ses inoxydables psychopathes, s’adaptant à l’air du temps et aux nouvelles générations de spectatrices et spectateurs. La longévité du slasher s’explique par sa dimension symbolique. Ces contes de fées modernes, à l’apparente crétinerie, sont aussi et surtout des miroirs tendus à la société. Satyre sociale, le slasher nous en dit plus qu’il ne laisse paraître, sa profondeur se retrouve dans la grossièreté de ses traits et son progressisme dans ses personnages féminins quasi-toujours victorieux... En définitive, le slasher n’est pas près de mourir, mais il a déjà un lourd passé sur lequel il est temps de revenir. Au travers de dossiers, d’articles, de tops et d’interviews composés par des auteurs et des experts de tous horizons, Slashers explore de manière ludique et éclectique la place spéciale de ce genre déconsidéré mais adulé au sein de la culture populaire.
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Résumé : Un cinéma qui tue mais ne veut pas mourir. Dès la fin des années 70, le succès de Halloween de John Carpenter engendre une vague de films à tueurs masqués dont l’unique activité est d’assassiner des adolescents à l’arme blanche. Le slasher est à la mode et fait de la mise à mort un spectacle. Mieux encore, il introduit le concept du croquemitaine stylisé qui, imparablement, doit devenir une figure de la culture pop. Maintes fois enterré, le genre finit toujours par renaître de ses cendres, à l’image de ses inoxydables psychopathes, s’adaptant à l’air du temps et aux nouvelles générations de spectatrices et spectateurs. La longévité du slasher s’explique par sa dimension symbolique. Ces contes de fées modernes, à l’apparente crétinerie, sont aussi et surtout des miroirs tendus à la société. Satyre sociale, le slasher nous en dit plus qu’il ne laisse paraître, sa profondeur se retrouve dans la grossièreté de ses traits et son progressisme dans ses personnages féminins quasi-toujours victorieux... En définitive, le slasher n’est pas près de mourir, mais il a déjà un lourd passé sur lequel il est temps de revenir. Au travers de dossiers, d’articles, de tops et d’interviews composés par des auteurs et des experts de tous horizons, Slashers explore de manière ludique et éclectique la place spéciale de ce genre déconsidéré mais adulé au sein de la culture populaire.
2021 • livre de Guillaume Le Disez, Marie Casabonne, Fred Pizzoferrato et Claude Gaillard
Résumé : Un cinéma qui tue mais ne veut pas mourir. Dès la fin des années 70, le succès de Halloween de John Carpenter engendre une vague de films à tueurs masqués dont l’unique activité est d’assassiner des adolescents à l’arme blanche. Le slasher est à la mode et fait de la mise à mort un spectacle. Mieux encore, il introduit le concept du croquemitaine stylisé qui, imparablement, doit devenir une figure de la culture pop. Maintes fois enterré, le genre finit toujours par renaître de ses cendres, à l’image de ses inoxydables psychopathes, s’adaptant à l’air du temps et aux nouvelles générations de spectatrices et spectateurs. La longévité du slasher s’explique par sa dimension symbolique. Ces contes de fées modernes, à l’apparente crétinerie, sont aussi et surtout des miroirs tendus à la société. Satyre sociale, le slasher nous en dit plus qu’il ne laisse paraître, sa profondeur se retrouve dans la grossièreté de ses traits et son progressisme dans ses personnages féminins quasi-toujours victorieux... En définitive, le slasher n’est pas près de mourir, mais il a déjà un lourd passé sur lequel il est temps de revenir. Au travers de dossiers, d’articles, de tops et d’interviews composés par des auteurs et des experts de tous horizons, Slashers explore de manière ludique et éclectique la place spéciale de ce genre déconsidéré mais adulé au sein de la culture populaire.
Du bel ouvrage ! Je ne regrette pas d'avoir participé à la campagne de financement.
Le 13 juil. 2022
2021 • livre de Guillaume Le Disez, Marie Casabonne, Fred Pizzoferrato et Claude Gaillard
Résumé : Un cinéma qui tue mais ne veut pas mourir. Dès la fin des années 70, le succès de Halloween de John Carpenter engendre une vague de films à tueurs masqués dont l’unique activité est d’assassiner des adolescents à l’arme blanche. Le slasher est à la mode et fait de la mise à mort un spectacle. Mieux encore, il introduit le concept du croquemitaine stylisé qui, imparablement, doit devenir une figure de la culture pop. Maintes fois enterré, le genre finit toujours par renaître de ses cendres, à l’image de ses inoxydables psychopathes, s’adaptant à l’air du temps et aux nouvelles générations de spectatrices et spectateurs. La longévité du slasher s’explique par sa dimension symbolique. Ces contes de fées modernes, à l’apparente crétinerie, sont aussi et surtout des miroirs tendus à la société. Satyre sociale, le slasher nous en dit plus qu’il ne laisse paraître, sa profondeur se retrouve dans la grossièreté de ses traits et son progressisme dans ses personnages féminins quasi-toujours victorieux... En définitive, le slasher n’est pas près de mourir, mais il a déjà un lourd passé sur lequel il est temps de revenir. Au travers de dossiers, d’articles, de tops et d’interviews composés par des auteurs et des experts de tous horizons, Slashers explore de manière ludique et éclectique la place spéciale de ce genre déconsidéré mais adulé au sein de la culture populaire.
2021 • livre de Guillaume Le Disez, Marie Casabonne, Fred Pizzoferrato et Claude Gaillard
Résumé : Un cinéma qui tue mais ne veut pas mourir. Dès la fin des années 70, le succès de Halloween de John Carpenter engendre une vague de films à tueurs masqués dont l’unique activité est d’assassiner des adolescents à l’arme blanche. Le slasher est à la mode et fait de la mise à mort un spectacle. Mieux encore, il introduit le concept du croquemitaine stylisé qui, imparablement, doit devenir une figure de la culture pop. Maintes fois enterré, le genre finit toujours par renaître de ses cendres, à l’image de ses inoxydables psychopathes, s’adaptant à l’air du temps et aux nouvelles générations de spectatrices et spectateurs. La longévité du slasher s’explique par sa dimension symbolique. Ces contes de fées modernes, à l’apparente crétinerie, sont aussi et surtout des miroirs tendus à la société. Satyre sociale, le slasher nous en dit plus qu’il ne laisse paraître, sa profondeur se retrouve dans la grossièreté de ses traits et son progressisme dans ses personnages féminins quasi-toujours victorieux... En définitive, le slasher n’est pas près de mourir, mais il a déjà un lourd passé sur lequel il est temps de revenir. Au travers de dossiers, d’articles, de tops et d’interviews composés par des auteurs et des experts de tous horizons, Slashers explore de manière ludique et éclectique la place spéciale de ce genre déconsidéré mais adulé au sein de la culture populaire.
2021 • livre de Guillaume Le Disez, Marie Casabonne, Fred Pizzoferrato et Claude Gaillard
Résumé : Un cinéma qui tue mais ne veut pas mourir. Dès la fin des années 70, le succès de Halloween de John Carpenter engendre une vague de films à tueurs masqués dont l’unique activité est d’assassiner des adolescents à l’arme blanche. Le slasher est à la mode et fait de la mise à mort un spectacle. Mieux encore, il introduit le concept du croquemitaine stylisé qui, imparablement, doit devenir une figure de la culture pop. Maintes fois enterré, le genre finit toujours par renaître de ses cendres, à l’image de ses inoxydables psychopathes, s’adaptant à l’air du temps et aux nouvelles générations de spectatrices et spectateurs. La longévité du slasher s’explique par sa dimension symbolique. Ces contes de fées modernes, à l’apparente crétinerie, sont aussi et surtout des miroirs tendus à la société. Satyre sociale, le slasher nous en dit plus qu’il ne laisse paraître, sa profondeur se retrouve dans la grossièreté de ses traits et son progressisme dans ses personnages féminins quasi-toujours victorieux... En définitive, le slasher n’est pas près de mourir, mais il a déjà un lourd passé sur lequel il est temps de revenir. Au travers de dossiers, d’articles, de tops et d’interviews composés par des auteurs et des experts de tous horizons, Slashers explore de manière ludique et éclectique la place spéciale de ce genre déconsidéré mais adulé au sein de la culture populaire.