Une élève, victime de harcèlement sur les réseaux sociaux et sur son téléphone, finit par se suicider. Six mois après on retrouve son petit ami de l’époque mort, pendu par les pieds à un arbre de la cour du lycée. L’occasion de voir réapparaître la commissaire Claire Di Lazio, chargée de l’enquête, tout comme dans le précédent roman de l’autrice Stabat murder.
Comme pour ce dernier je n’étais pas hyper emballée. Pourtant j’affectionne ce type de polar chez les adultes, mais là il y a un côté que je trouve un peu artificiel, sans que j’arrive à vraiment mettre le doigt dessus… Le roman met en scène des ados mais adopte un point de vue adulte vu que l’on suit une nouvelle fois la commissaire Di Lazio. Je me demande si cela fonctionne auprès des ados, car après tout c’est surtout ça qui importe. Le thème du harcèlement est bien choisi et c’est un sujet qu’il est nécessaire de traiter auprès des ados, mais j’ai trouvé la plupart des messages très appuyés même si justes. Le public visé aura peut-être moins ce ressenti de messages martelés qui moi m’a vraiment gênée lors de ma lecture, tout comme pour celle de l’opus précédent.
Ce roman peut se lire indépendamment de Stabat murder.
Sandra