Sous le charme de Lillian Dawes
Fiche technique
Auteur :
Katherine MosbyGenre : RomanDate de publication (pays d'origine) : Parution France : février 2009Éditeur :
Quai Voltaire ÉditionsISBN : 9782710330493, 9782710330493, 9782070420148Résumé : «Il y a presque toujours dans la vie un moment clé, un point divisant le temps entre un avant et un après - un accident ou une histoire d'amour, un voyage ou peut-être un décès»Ainsi commence le récit que fait Gabriel, dix-sept ans, de l'été qui changea le cours de sa vie. Renvoyé du pensionnat, il s'installe à Manhattan chez son frère Spencer, qui a renoncé à la carrière diplomatique pour la bohème littéraire. Enivré par sa liberté toute neuve, Gabriel goûte aux plaisirs de la ville et croise le chemin de Lillian Dawes. Artiste ? Aventurière ? Espionne ? Cette jeune femme, indépendante et mystérieuse, est de celles qui enflamment l'imagination des hommes. Ni Spencer ni Gabriel ne sortent indemnes de cette rencontre«Exquis De son passé de poète, elle a gardé une méticuleuse attention au langage et un sens aigu de l'image. Si Mosby excelle dans le domaine de la comédie sociale, Lillian Dawes est bien plus que cela. The New York Times.Extrait du livre :Il y a presque toujours dans la vie un moment clé, un point divisant le temps entre un avant et un après - un accident ou une histoire d'amour, un voyage ou peut-être un décès. Dans le cas de Spencer, les quatre, tels les points cardinaux sur une boussole, se combinèrent sous la forme de Lillian Dawes. Et comme il est impossible d'être le témoin d'un drame sans en conserver l'empreinte, cette femme marqua, pour moi aussi, le grand tournant.J'avais dix-sept ans quand le pensionnat de garçons Renwick décida, en dépit des liens qui unissaient depuis longtemps ma famille à l'établissement, de me renvoyer au milieu du trimestre. Mon père était mort l'année précédente et, par respect pour son nom et peut-être aussi son legs, ils avaient fermé les yeux sur mes précédentes incartades. Mais lorsque je fus surpris en train de fumer un cigare dans la chapelle après l'extinction des feux, j'épuisai la sympathie due à mon statut d'orphelin. Les directeurs avaient tellement hâte de me renvoyer dans ce qu'il me restait de famille q