Finalement, la quatrième de couverture n'annonce pas à mon sens le contenu du livre : si les premiers chapitres répondent bien à l'idée de présenter la vie de la mère de Tahar Ben Jelloun, par la suite, on se perd dans les méandres d'une mémoire plus que défaillante du fait de la maladie.
Le style narratif par ailleurs se modifie également : on change de narrateur au milieu d'un paragraphe, il y a de moins en moins de ponctuation, et cela devient de plus en plus lourd, à mesure que les sujets abordés deviennent plus personnels.