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Notes perso
les lecteurs de cette histoire la considèrent généralement soit comme une critique du capitalisme (l'enfant c'est les pauvres) ou comme la répétition d'un dilemme moral de William James/Dostoyevsky,...
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le 24 févr. 2025
Notes perso
- les lecteurs de cette histoire la considèrent généralement soit comme une critique du capitalisme (l'enfant c'est les pauvres) ou comme la répétition d'un dilemme moral de William James/Dostoyevsky, dilemme qui en a d'ailleurs épouvanté plus d'un quand ils se sont rendus compte que toutes les sociétés vivent comme ça (Le Guin a reçu des lettres de gens très en colère à cause de ces pages)
- j'y vois un troisième sens: la souffrance d'une personne est nécessaire dans la structure d'une histoire pour que des personnages heureux existent, lesdits contents existant pour accentuer le contraste avec ledit miséreux. Une histoire peut finir sur une bonne fin seulement si le personnage principal a souffert précédemment ou si les méchants souffrent beaucoup en "perdant". En dehors de ce schéma, le néant (le monde hors d'Omelas), le monde auquel on ne s'intéresse pas. Tout le passage du début où Le Guin montre une certaine indifférence aux éléments de l'histoire en indiquant au lecteur de rajouter ce qu'on y veut est le vrai indice de ce qui n'est pas juste un conte philosophique
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le 24 févr. 2025
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