Critique N°9 :
Revenons au Titanic et plus particulièrement sur un autre témoin qui a travaillé pour la White Star Line.
Ce témoin, nommé Charles Herbert Lightoller, était un marin et un second officier du Titanic et qui a écrit dans les années 1930, ses mémoires sur ses aventures.
Son livre est composé de 264 pages, dont 45 chapitres et son nom est ‘’Titanic and other ships’’.
Au XIXème siècle, il avait commencé à travailler dans le codon quand il était adolescent et il devenu un mousse sur le Prinrose Hill.
Les 20 premiers chapitres sont ses expériences de navigation, dont les difficultés étaient présentes et parfois douloureuses.
Il a affronté la maladie, les tempêtes, un naufrage ; a survécu dans une île pas connue ; a travaillé à l’étranger dans des conditions pénibles ; et est devenu quatrième officier de la White Star Line.
Il avait l’expérience sur la navigation et avait entendu parler du projet Titanic, mais il va faire une parenthèse sur sa carrière de marin et aller au Canada pour trouver de l’or.
Il ne trouvera pas de l’or, mais connaîtra une expérience sur la nature et deviendra un cow-boy.
Retour en mer, il rejoint la White Star Line et fait plusieurs voyages en Australie et an Atlantique.
Et c’est à partir du chapitre 30, qu’il raconte son aventure sur le Titanic, en 5 chapitres, seulement.
Cette parenthèse sur le Titanic est racontée d’une façon bien subjective concernant l’équipage, la matériel, les messages sur l’iceberg, la vitesse du navire et des passagers qui ne parlent pas anglais.
Et les 10 derniers chapitres sont ses expériences de lieutenant et de la période de la première Guerre Mondiale.
Que valent les mémoires de Charles Herbert Lightoller ?
Etant donné que ce livre vient d’une autre époque et que son vocabulaire est un peu plus pointu que les autres livres, il a été pour moi, une véritable épreuve difficile pour le traduire dans ma langue.
C’est à la fois, un vocabulaire familier et technique que je n’ai pas l’habitude de lire et le sujet du Titanic est prétexte pour attirer l’intention des lecteurs.
Et certaines de ses expériences maritimes ont tendances à se répéter et n’ont pas changées les événements du Titanic.
Mais, ses aventures restent intéressantes à lire et ses avis donnent de l’intérêt, comme le fait que les australiens étaient plus britanniques que les anglais et sa prédilection sur la future guerre par les nazies était juste.
Son livre ne donne pas beaucoup d’informations sur le Titanic et certains mots ont été modifiés par des anti-Fa, ce qui rend parfois certaines phrases anachroniques et bizarres.
A lire ses mémoires avec un niveau C.