"Paula Vauss a passé son enfance sur les routes avec sa mère, Kai, une hippie. Malgré ce parcours chaotique, Paula s’en est sortie et est devenue avocate, spécialisée dans les divorces de riches personnalités à Atlanta. Elle n’a pas vu sa mère depuis 15 ans mais lui verse régulièrement de l’argent, afin de payer sa « dette karmique » – jusqu’au jour où elle trouve dans sa boîte aux lettres une note mystérieuse de Kai, qui lui indique qu’elle part en voyage. Paula part à la recherche de sa mère, priant pour qu’il ne soit pas trop tard. Elle, l’experte en divorces, doit maintenant trouver le moyen de réunir une famille – la sienne."
Comment ai-je découvert ce livre ? Je l'ai eu à mon anniversaire
Mon avis : Je ne connaissais absolument pas ce livre avant de l'avoir eu à mon anniversaire, mais dès que j'ai lu le résumé j'ai été rapidement emballée et intriguée. Le mélange entre le côté léger de la chick-lit et le drame partait plutôt bien et avait tout pour me plaire. Toutefois, mon emballement a été de courte durée car dès les premières pages j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire et à lui trouver un intérêt. Je me suis pourtant accrochée, pensant que ça allait s'améliorer, qu'un événement allait provoquer le déclic, mais malheureusement rien n'est arrivé jusqu'à la toute dernière page. Je me suis clairement ennuyée dans ce récit rempli de longueurs et de répétitions. Je ne sais, d'ailleurs, pas comment j'ai fait pour arriver à terminer ma lecture tellement j'ai eu tant de fois envie de l'abandonner. J'ai terminé ma lecture seulement hier et je n'ai déjà plus aucun souvenir du récit, c'est dire s'il m'a marqué. J'aurais pu passer outre si les personnages m'avaient touchée. Cependant, le récit a beau être du point de vue de Paula, je n'ai absolument pas réussi à m'attacher à elle, ni à aucun autre personnage d'ailleurs. Je les ais tous trouvé extrêmement clichés et énervants. Malgré mon ressenti très négatif, ce livre ne doit pas être fondamentalement mauvais car j'ai pu lire énormément de chroniques positives, notamment sur des blogs anglophones. Alors peut-être est-ce dû à la traduction qui a alourdit le récit et n'a pas rendu honneur à la plume de l'auteure et à son histoire ?