J'ai mis 7 parce-que qu'il n'y a pas de 6.5.
Ubik débute mollement mais le comique des portes tenant en otage les locataires qui n'ont pas un rond invite à continuer. A 50-80 pages l'intrigue est lancée. J'ai vite eu envie de connaître la suite, c'est ce suspens que j'ai préféré .
La fin est un peu facile.
Je l'ai lu en francais donc je ne sais pas si c'est du au traducteur mais il y a un style agaçant dans certaines longues descriptions (trois quatre, c'est peu) , proche du verbiage, alambiqué ou même dénué de vrai sens sans servir l'histoire.
Quelques personnages sont chouettes ou bien énervant.
Pour un livre écrit en 1969, c'est de la Sf qui tient encore le coup aujourd'hui.