Critique de Un chant de pierre par leleul
Indispensable !
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le 1 avr. 2016
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Une tension dramatique malsaine s'installe dans le tutoiement perturbant que le narrateur adresse à sa silencieuse compagne — miroir, reflet, pâle ombre de lui-même —, accrue par l'ambiguïté de la relation du couple avec le lieutenant ambivalent. La cruauté d'Un chant de pierre se réverbère en échos multiples et mêlés — réminiscences gothiques, sadiennes et gracquiennes. Noires, assurément.
Critique complète sur le site : http://louetlesfeuillesvolantes.blogspot.com/2016/07/un-chant-de-pierre-iain-banks.html
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Créée
le 3 oct. 2016
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