Sororité
Siri, elle est comme une soeur. Une soeur du midwest, universitaire, plus cultivée. Trop diront ceux qui ont trouvé la concierge de la rue de Grenelle pédante, mais peut-être pardonneront-ils son...
Par
le 30 juin 2011
6 j'aime
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 20 mai 2013
Critique lue 557 fois
8 j'aime
2 commentaires
D'autres avis sur Un Été sans les hommes
Siri, elle est comme une soeur. Une soeur du midwest, universitaire, plus cultivée. Trop diront ceux qui ont trouvé la concierge de la rue de Grenelle pédante, mais peut-être pardonneront-ils son...
Par
le 30 juin 2011
6 j'aime
Hmm... J'ai découvert Siri Hustvedt en lisant "Tout ce que j'aimais", livre que j'ai dévoré et adoré. J'ai lu depuis d'autres bouquins qui m'ont toujours plus sans égaler cette première...
Par
le 16 oct. 2011
5 j'aime
1
un livre qui respire l'intelligence, c'est étonnant au vu d'une histoire "banale" d'une femme de 55 ans qui se fait lâcher par son mari parti pour une jeunette. Après avoir vraiment perdu la tête...
Par
le 30 janv. 2018
1 j'aime
Du même critique
Premières dizaines de pages laborieuses. J'ai bien failli laisser tomber. Tout ce que je déteste : primaire, vulgaire, bestial, malaise. Et puis peu à peu, de la poésie en touches un peu trash. On se...
Par
le 4 mai 2013
4 j'aime
J'ai d'abord lu La Petite fêlée aux allumettes, et comme j'ai beaucoup aimé, j'ai décidé ensuite de lire Les Vacances d'un serial killer qui m'a paru une pâle ébauche de ce qui fait l'originalité et...
Par
le 18 mars 2013
1 j'aime