Sororité
Siri, elle est comme une soeur. Une soeur du midwest, universitaire, plus cultivée. Trop diront ceux qui ont trouvé la concierge de la rue de Grenelle pédante, mais peut-être pardonneront-ils son...
Par
le 30 juin 2011
6 j'aime
Le site est en ligne, vous pouvez désormais revenir à vos activités habituelles. On vous remercie pour votre patience et votre soutien ! (Il est encore possible que le site rencontre quelques problèmes de performance)
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 21 août 2011
Critique lue 394 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Un Été sans les hommes
Siri, elle est comme une soeur. Une soeur du midwest, universitaire, plus cultivée. Trop diront ceux qui ont trouvé la concierge de la rue de Grenelle pédante, mais peut-être pardonneront-ils son...
Par
le 30 juin 2011
6 j'aime
Hmm... J'ai découvert Siri Hustvedt en lisant "Tout ce que j'aimais", livre que j'ai dévoré et adoré. J'ai lu depuis d'autres bouquins qui m'ont toujours plus sans égaler cette première...
Par
le 16 oct. 2011
5 j'aime
1
un livre qui respire l'intelligence, c'est étonnant au vu d'une histoire "banale" d'une femme de 55 ans qui se fait lâcher par son mari parti pour une jeunette. Après avoir vraiment perdu la tête...
Par
le 30 janv. 2018
1 j'aime
Du même critique
Nous savons tout de la guerre de 14. Tant de livres, de films, de témoignages, d'anniversaires commémoratifs...Echenoz pouvait-il faire mieux que Céline ? Impossible. Et pourtant ce "roman" est...
Par
le 3 déc. 2012
3 j'aime
un récit à bout de souffle ...d'une seule traite, sans commencement (le livre débute en cours de phrase) ni fin (on tire un trait, c'est tout)...60 pages pour dire dire qu'un homme a été tué par des...
Par
le 13 févr. 2012
3 j'aime
1
Personne (ou si peu de gens) ne connaissent plus Nikola TESLA qui fut pourtant un inventeur génial et c'est en particulier grâce à lui que nous recevons partout l'électricité. C'est sous le pseudo de...
Par
le 24 juin 2011
3 j'aime