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Sororité
Siri, elle est comme une soeur. Une soeur du midwest, universitaire, plus cultivée. Trop diront ceux qui ont trouvé la concierge de la rue de Grenelle pédante, mais peut-être pardonneront-ils son...
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le 30 juin 2011
6 j'aime
intelligent certes mais...
autant j'avais aimé " Tout ce que j'aimais " et meme " La femme qui tremble " plus récemment , autant je n'ai pas totalement accroché à cet univers féminin et pourtant il y a de beaux porteaits de "Cygnes" - qui disait : la vieillesse est un naufrage " Giroud ? - et des jeunes ados avec leur cruauté .
Ce n'est pas le coté cultivé qui m'a dérangée , mais les ruptures de rythmes et de nombreuses digressions . Le style reste brillant .
Ce n'est pas le coté cultivé qui m'a dérangée , mais les ruptures de rythmes et de nombreuses digressions . Le style reste brillant .
6
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le 12 sept. 2011
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Simplement dommage que la forme ne serve pas l'histoire
Hmm... J'ai découvert Siri Hustvedt en lisant "Tout ce que j'aimais", livre que j'ai dévoré et adoré. J'ai lu depuis d'autres bouquins qui m'ont toujours plus sans égaler cette première...
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le 16 oct. 2011
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Critique de Un Été sans les hommes par NathalieN
un livre qui respire l'intelligence, c'est étonnant au vu d'une histoire "banale" d'une femme de 55 ans qui se fait lâcher par son mari parti pour une jeunette. Après avoir vraiment perdu la tête...
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le 30 janv. 2018
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le 12 sept. 2011
