Une autobiographie
Fiche technique
Auteur :
Neil YoungGenres : Biographie, Autobiographie & mémoiresDate de publication (France) : Langue d'origine : AnglaisTraducteurs :
Bernard Cohen, Abel GerschenfeldParution France : 4 octobre 2012Éditeurs :
Robert Laffont Éditions, SeuilISBN : 9782221133170, 9782757836309Résumé : Neil Young est sans aucun doute l’une des figures les plus marquantes, les plus attachantes et les plus énigmatiques de l’histoire du rock et de la culture pop des quarante dernières années. Depuis ses débuts avec le groupe Buffalo Springfield jusqu’à ses albums révolutionnaires en solo, en passant par ses immenses succès avec Crosby, Stills & Nash et son adoubement en tant que père spirituel du grunge au début des années quatre-vingt-dix, s’essayant tour à tour à la country la plus traditionnelle et au punk-rock le plus radical, Neil Young a su se renaître et se réinventer en permanence sans jamais trahir son idéal artistique. Son autobiographie présente un kaléidoscope de la vie mouvementée et du parcours musical foisonnant du Loner (le Solitaire, son surnom, s’inspirant du titre de l’une de ses chansons). Neil Young y revient pour la toute première fois en détail sur son enfance, sa découverte de la musique et sa vie de star. Un voyage qui nous conduit des neiges de son Canada natal aux boulevards de Los Angeles sous l’influence du LSD dans les années soixante, jusqu’aux rivages plus calmes d’Hawaii aujourd’hui. Pleins d’esprit, d’humour et de fraîcheur, les souvenirs de Neil Young sont un véritable cadeau pour tous les amateurs de musique – et ses mémoires sans nul doute destinés à devenir un classique du genre. À l’instar des Chroniques de Bob Dylan, l’ouvrage de référence en la matière, Neil Young a fait le choix remarquable de privilégier un retour sur soi via l’exercice autobiographique plutôt que de recourir, comme tant d’autres avant lui, aux services d’un biographe officiel. À propos du travail d’écriture, Young explique à quel point l’expérience lui a plu : « J’ai commencé et je ne me suis plus arrêté d’écrire. C’est comme ça qu’avait l’habitude de faire mon père (célèbre journaliste sportif) avec sa vieille Underwood dans le grenier. Il me disait : Continue d’écrire, tu ne sais jamais ce qu’il va se passer.’’ »