L'actualité sur Vermilion Sands
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1971 • livre de J.G. Ballard
Résumé : Vermilion Sands, « banlieue exotique de mon esprit », a écrit J.G. Ballard. Désert, mer de sable, lacs fossiles, récifs de sable vitrifié élevant leurs colonnes : paysage abstrait, paysage surréel déployé comme les éléments d'une toile de Max Ernst ou de Dali. Vermilion Sands, bizarre station touristique ancrée dans ces sables, avec sa léthargie, son mal des plages, ses perspectives mouvantes. Avec ses milliardaires excentriques, ses artistes désoeuvrés, ses belles et riches héritières désaxées, en proie à leurs névroses et à leurs fantasmes, trompant leur ennui dans d'étranges et morbides passe-temps. Vermilion Sands où l'on écoute les fleurs musicales et les sculptures chantantes, où les poètes se servent de machines à poèsie, les peintres de pigments grâce auxquels le tableau apparaît tout seul sur la toile, où l'on habite des maisons que façonne le psychisme de leurs occupants et où l'on porte des vêtements en textiles vivants. Vermilion Sands, lieu géométrique du rêve, point de jonction des diverses coordonnées de l'espace intérieur... J.G. Ballard, né en 1930, est l'un des chefs de file de la science-fiction britannique. Après ses variations subtiles sur le thème des cataclysmes « au ralenti » (Le monde englouti, La forêt de cristal, Sécheresse), il a donné à la SF moderne une dimension apocalyptique avec Crash et L'île de béton. Ecrits entre 1956 et 1970, les textes qui appartiennent au cycle de Vermilion Sands constituent l'une de ses oeuvres les plus personnelles.
1971 • livre de J.G. Ballard
Résumé : Vermilion Sands, « banlieue exotique de mon esprit », a écrit J.G. Ballard. Désert, mer de sable, lacs fossiles, récifs de sable vitrifié élevant leurs colonnes : paysage abstrait, paysage surréel déployé comme les éléments d'une toile de Max Ernst ou de Dali. Vermilion Sands, bizarre station touristique ancrée dans ces sables, avec sa léthargie, son mal des plages, ses perspectives mouvantes. Avec ses milliardaires excentriques, ses artistes désoeuvrés, ses belles et riches héritières désaxées, en proie à leurs névroses et à leurs fantasmes, trompant leur ennui dans d'étranges et morbides passe-temps. Vermilion Sands où l'on écoute les fleurs musicales et les sculptures chantantes, où les poètes se servent de machines à poèsie, les peintres de pigments grâce auxquels le tableau apparaît tout seul sur la toile, où l'on habite des maisons que façonne le psychisme de leurs occupants et où l'on porte des vêtements en textiles vivants. Vermilion Sands, lieu géométrique du rêve, point de jonction des diverses coordonnées de l'espace intérieur... J.G. Ballard, né en 1930, est l'un des chefs de file de la science-fiction britannique. Après ses variations subtiles sur le thème des cataclysmes « au ralenti » (Le monde englouti, La forêt de cristal, Sécheresse), il a donné à la SF moderne une dimension apocalyptique avec Crash et L'île de béton. Ecrits entre 1956 et 1970, les textes qui appartiennent au cycle de Vermilion Sands constituent l'une de ses oeuvres les plus personnelles.
1971 • livre de J.G. Ballard
Résumé : Vermilion Sands, « banlieue exotique de mon esprit », a écrit J.G. Ballard. Désert, mer de sable, lacs fossiles, récifs de sable vitrifié élevant leurs colonnes : paysage abstrait, paysage surréel déployé comme les éléments d'une toile de Max Ernst ou de Dali. Vermilion Sands, bizarre station touristique ancrée dans ces sables, avec sa léthargie, son mal des plages, ses perspectives mouvantes. Avec ses milliardaires excentriques, ses artistes désoeuvrés, ses belles et riches héritières désaxées, en proie à leurs névroses et à leurs fantasmes, trompant leur ennui dans d'étranges et morbides passe-temps. Vermilion Sands où l'on écoute les fleurs musicales et les sculptures chantantes, où les poètes se servent de machines à poèsie, les peintres de pigments grâce auxquels le tableau apparaît tout seul sur la toile, où l'on habite des maisons que façonne le psychisme de leurs occupants et où l'on porte des vêtements en textiles vivants. Vermilion Sands, lieu géométrique du rêve, point de jonction des diverses coordonnées de l'espace intérieur... J.G. Ballard, né en 1930, est l'un des chefs de file de la science-fiction britannique. Après ses variations subtiles sur le thème des cataclysmes « au ralenti » (Le monde englouti, La forêt de cristal, Sécheresse), il a donné à la SF moderne une dimension apocalyptique avec Crash et L'île de béton. Ecrits entre 1956 et 1970, les textes qui appartiennent au cycle de Vermilion Sands constituent l'une de ses oeuvres les plus personnelles.
1971 • livre de J.G. Ballard
Résumé : Vermilion Sands, « banlieue exotique de mon esprit », a écrit J.G. Ballard. Désert, mer de sable, lacs fossiles, récifs de sable vitrifié élevant leurs colonnes : paysage abstrait, paysage surréel déployé comme les éléments d'une toile de Max Ernst ou de Dali. Vermilion Sands, bizarre station touristique ancrée dans ces sables, avec sa léthargie, son mal des plages, ses perspectives mouvantes. Avec ses milliardaires excentriques, ses artistes désoeuvrés, ses belles et riches héritières désaxées, en proie à leurs névroses et à leurs fantasmes, trompant leur ennui dans d'étranges et morbides passe-temps. Vermilion Sands où l'on écoute les fleurs musicales et les sculptures chantantes, où les poètes se servent de machines à poèsie, les peintres de pigments grâce auxquels le tableau apparaît tout seul sur la toile, où l'on habite des maisons que façonne le psychisme de leurs occupants et où l'on porte des vêtements en textiles vivants. Vermilion Sands, lieu géométrique du rêve, point de jonction des diverses coordonnées de l'espace intérieur... J.G. Ballard, né en 1930, est l'un des chefs de file de la science-fiction britannique. Après ses variations subtiles sur le thème des cataclysmes « au ralenti » (Le monde englouti, La forêt de cristal, Sécheresse), il a donné à la SF moderne une dimension apocalyptique avec Crash et L'île de béton. Ecrits entre 1956 et 1970, les textes qui appartiennent au cycle de Vermilion Sands constituent l'une de ses oeuvres les plus personnelles.
J'ai vraiment hésité à le mettre dans la liste. Sur le moment moi non plus j'avais un peu de mal à resituer et je confondais en plus avec une autre lecture. J'ai envie de dire que oui on peut considérer ce livre comme une histoire d'apocalypse même si c'est pas dans le sens habituel. Mais je suis d'accord c'est limite et je suis pas convaincu qu'il a sa place ici mais... Mais c'est plus l'histoire d'une décadence, on est plongé dans un monde où rêve et réalité se confondent, avec une nature et d...
Le 26 févr. 2024
Je me souviens de l'ambiance mais plus du tout des histoires hormis qu'il y en avait une avec des raies manta (des sables si ma mémoire est bonne (?)), donc je pourrais difficilement confirmer ou infirmer ton impression :\
Le 26 févr. 2024
Je me souviens de plantes, d'objets (flous ds mon souvenir)... aux formes changeantes, qui grandissent sans cesse, incontrôlables. Sorte d'images de cauchemar mais réel. Je crois que j'irai jeter vite fait jeter un oeil ds ce bouquin.
Le 26 févr. 2024
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1971 • livre de J.G. Ballard
Résumé : Vermilion Sands, « banlieue exotique de mon esprit », a écrit J.G. Ballard. Désert, mer de sable, lacs fossiles, récifs de sable vitrifié élevant leurs colonnes : paysage abstrait, paysage surréel déployé comme les éléments d'une toile de Max Ernst ou de Dali. Vermilion Sands, bizarre station touristique ancrée dans ces sables, avec sa léthargie, son mal des plages, ses perspectives mouvantes. Avec ses milliardaires excentriques, ses artistes désoeuvrés, ses belles et riches héritières désaxées, en proie à leurs névroses et à leurs fantasmes, trompant leur ennui dans d'étranges et morbides passe-temps. Vermilion Sands où l'on écoute les fleurs musicales et les sculptures chantantes, où les poètes se servent de machines à poèsie, les peintres de pigments grâce auxquels le tableau apparaît tout seul sur la toile, où l'on habite des maisons que façonne le psychisme de leurs occupants et où l'on porte des vêtements en textiles vivants. Vermilion Sands, lieu géométrique du rêve, point de jonction des diverses coordonnées de l'espace intérieur... J.G. Ballard, né en 1930, est l'un des chefs de file de la science-fiction britannique. Après ses variations subtiles sur le thème des cataclysmes « au ralenti » (Le monde englouti, La forêt de cristal, Sécheresse), il a donné à la SF moderne une dimension apocalyptique avec Crash et L'île de béton. Ecrits entre 1956 et 1970, les textes qui appartiennent au cycle de Vermilion Sands constituent l'une de ses oeuvres les plus personnelles.
1971 • livre de J.G. Ballard
Résumé : Vermilion Sands, « banlieue exotique de mon esprit », a écrit J.G. Ballard. Désert, mer de sable, lacs fossiles, récifs de sable vitrifié élevant leurs colonnes : paysage abstrait, paysage surréel déployé comme les éléments d'une toile de Max Ernst ou de Dali. Vermilion Sands, bizarre station touristique ancrée dans ces sables, avec sa léthargie, son mal des plages, ses perspectives mouvantes. Avec ses milliardaires excentriques, ses artistes désoeuvrés, ses belles et riches héritières désaxées, en proie à leurs névroses et à leurs fantasmes, trompant leur ennui dans d'étranges et morbides passe-temps. Vermilion Sands où l'on écoute les fleurs musicales et les sculptures chantantes, où les poètes se servent de machines à poèsie, les peintres de pigments grâce auxquels le tableau apparaît tout seul sur la toile, où l'on habite des maisons que façonne le psychisme de leurs occupants et où l'on porte des vêtements en textiles vivants. Vermilion Sands, lieu géométrique du rêve, point de jonction des diverses coordonnées de l'espace intérieur... J.G. Ballard, né en 1930, est l'un des chefs de file de la science-fiction britannique. Après ses variations subtiles sur le thème des cataclysmes « au ralenti » (Le monde englouti, La forêt de cristal, Sécheresse), il a donné à la SF moderne une dimension apocalyptique avec Crash et L'île de béton. Ecrits entre 1956 et 1970, les textes qui appartiennent au cycle de Vermilion Sands constituent l'une de ses oeuvres les plus personnelles.
1971 • livre de J.G. Ballard
Résumé : Vermilion Sands, « banlieue exotique de mon esprit », a écrit J.G. Ballard. Désert, mer de sable, lacs fossiles, récifs de sable vitrifié élevant leurs colonnes : paysage abstrait, paysage surréel déployé comme les éléments d'une toile de Max Ernst ou de Dali. Vermilion Sands, bizarre station touristique ancrée dans ces sables, avec sa léthargie, son mal des plages, ses perspectives mouvantes. Avec ses milliardaires excentriques, ses artistes désoeuvrés, ses belles et riches héritières désaxées, en proie à leurs névroses et à leurs fantasmes, trompant leur ennui dans d'étranges et morbides passe-temps. Vermilion Sands où l'on écoute les fleurs musicales et les sculptures chantantes, où les poètes se servent de machines à poèsie, les peintres de pigments grâce auxquels le tableau apparaît tout seul sur la toile, où l'on habite des maisons que façonne le psychisme de leurs occupants et où l'on porte des vêtements en textiles vivants. Vermilion Sands, lieu géométrique du rêve, point de jonction des diverses coordonnées de l'espace intérieur... J.G. Ballard, né en 1930, est l'un des chefs de file de la science-fiction britannique. Après ses variations subtiles sur le thème des cataclysmes « au ralenti » (Le monde englouti, La forêt de cristal, Sécheresse), il a donné à la SF moderne une dimension apocalyptique avec Crash et L'île de béton. Ecrits entre 1956 et 1970, les textes qui appartiennent au cycle de Vermilion Sands constituent l'une de ses oeuvres les plus personnelles.
1971 • livre de J.G. Ballard
Résumé : Vermilion Sands, « banlieue exotique de mon esprit », a écrit J.G. Ballard. Désert, mer de sable, lacs fossiles, récifs de sable vitrifié élevant leurs colonnes : paysage abstrait, paysage surréel déployé comme les éléments d'une toile de Max Ernst ou de Dali. Vermilion Sands, bizarre station touristique ancrée dans ces sables, avec sa léthargie, son mal des plages, ses perspectives mouvantes. Avec ses milliardaires excentriques, ses artistes désoeuvrés, ses belles et riches héritières désaxées, en proie à leurs névroses et à leurs fantasmes, trompant leur ennui dans d'étranges et morbides passe-temps. Vermilion Sands où l'on écoute les fleurs musicales et les sculptures chantantes, où les poètes se servent de machines à poèsie, les peintres de pigments grâce auxquels le tableau apparaît tout seul sur la toile, où l'on habite des maisons que façonne le psychisme de leurs occupants et où l'on porte des vêtements en textiles vivants. Vermilion Sands, lieu géométrique du rêve, point de jonction des diverses coordonnées de l'espace intérieur... J.G. Ballard, né en 1930, est l'un des chefs de file de la science-fiction britannique. Après ses variations subtiles sur le thème des cataclysmes « au ralenti » (Le monde englouti, La forêt de cristal, Sécheresse), il a donné à la SF moderne une dimension apocalyptique avec Crash et L'île de béton. Ecrits entre 1956 et 1970, les textes qui appartiennent au cycle de Vermilion Sands constituent l'une de ses oeuvres les plus personnelles.