Trop facile
Ça démarre bien et très vite on déchante car David Foenkinos évoque le viol d’une jeune fille et on repense à tout ce déballage médiatique sur le sujet, on n’en a trop entendu et c’est un peu comme...
le 25 avr. 2018
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Au milieu du livre, l’histoire prend un nouveau tournant. Bien que le second moment est celui qu’on retient et qui nous émeut, le premier inspire toute la beauté du monde de la peinture. C’est un récit bouleversant de vérité, l’auteur parvient à faire ressentir les douleurs d’une victime, ainsi que les pensées de son bourreau. Et cela dans une justesse qui présumerait qu’il fut chacun d’eux, ce qui est impossible...
Créée
le 14 juin 2023
Critique lue 51 fois
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Ce que j'aime et admire chez Foenkinos , c'est cette concision et cette pseudo légèreté du style, qui laisse croire que c'est une écriture facile, voire superficielle aux yeux de certains. Et...
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