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TheMittens

a écrit un statut à propos du livre

“Roman du chômage et de la crise, du broyage de l'humain par la machine capitaliste, des bassesses mais aussi de la solidarité (vaine). Roman pessimiste fort d’où suinte la violence des dominations.”

TheMittens

a attribué 8/10 au livre

Viande à brûler

1935 • livre de César Fauxbras

Résumé : Plongeant le lecteur en plein cœur de la crise de l'entre-deux guerres, ce journal d'un chômeur réussit à toucher, comme nul autre roman, la vérité brûlante, sanglante, et surtout humiliante d'une époque rimant avec misère. César Fauxbras livre ici un témoignage bouleversant. Le sordide hôtel pour chômeurs où il nous entraîne existe sûrement dans un coin perdu du XIIIe arrondissement de Paris ; là, le licencié ès lettres Jojo, l'ex-médecin marron Chouard, le ménage Voulaz, la fille Jeannette qui se donne par camaraderie, tous passés maîtres dans l'art du système D et des combines en tout genre, forment un de ces mille îlots perdus dans l'enfer de la grande ville. De galères en situations dramatiques, Thévenin, le narrateur, fait montre d'une ultra-lucidité comme d'une incroyable capacité à déceler l'hypocrisie et débusquer le ridicule ; ne serait-ce que dans la trivialité du quotidien ou dans les méandres d'une administration absurde et inhumaine. Malgré les petits boulots flirtant avec l'illégalité, la lutte des acolytes pour survivre semble vaine. La radiation du chômage les menace tous. La langue de Fauxbras se fait alors drue et corrosive, argotique, brute comme le sujet, son regard sur la société est cinglant. Il donne naissance, par le biais de ce récit intime, à un texte engagé, celui d'un révolté qui laisse transpirer son non-conformisme et un humour noir digne des grands auteurs du genre. Car face à la solitude et au désespoir, seul l'humour pourra les sauver. À moins qu’un pont au-dessus de la Seine ne fasse définitivement l'affaire. Un roman majuscule.

JLP_2

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une critique

du livre

écrite par

tobou

a envie de lire le livre

Lelivrehostile

a attribué 8/10 au livre

Viande à brûler

1935 • livre de César Fauxbras

Résumé : Plongeant le lecteur en plein cœur de la crise de l'entre-deux guerres, ce journal d'un chômeur réussit à toucher, comme nul autre roman, la vérité brûlante, sanglante, et surtout humiliante d'une époque rimant avec misère. César Fauxbras livre ici un témoignage bouleversant. Le sordide hôtel pour chômeurs où il nous entraîne existe sûrement dans un coin perdu du XIIIe arrondissement de Paris ; là, le licencié ès lettres Jojo, l'ex-médecin marron Chouard, le ménage Voulaz, la fille Jeannette qui se donne par camaraderie, tous passés maîtres dans l'art du système D et des combines en tout genre, forment un de ces mille îlots perdus dans l'enfer de la grande ville. De galères en situations dramatiques, Thévenin, le narrateur, fait montre d'une ultra-lucidité comme d'une incroyable capacité à déceler l'hypocrisie et débusquer le ridicule ; ne serait-ce que dans la trivialité du quotidien ou dans les méandres d'une administration absurde et inhumaine. Malgré les petits boulots flirtant avec l'illégalité, la lutte des acolytes pour survivre semble vaine. La radiation du chômage les menace tous. La langue de Fauxbras se fait alors drue et corrosive, argotique, brute comme le sujet, son regard sur la société est cinglant. Il donne naissance, par le biais de ce récit intime, à un texte engagé, celui d'un révolté qui laisse transpirer son non-conformisme et un humour noir digne des grands auteurs du genre. Car face à la solitude et au désespoir, seul l'humour pourra les sauver. À moins qu’un pont au-dessus de la Seine ne fasse définitivement l'affaire. Un roman majuscule.

Odium

a envie de lire le livre

WLucie

a attribué 5/10 au livre

matzouz

a envie de lire le livre

Kissaki

a attribué 8/10 au livre

Viande à brûler

1935 • livre de César Fauxbras

Résumé : Plongeant le lecteur en plein cœur de la crise de l'entre-deux guerres, ce journal d'un chômeur réussit à toucher, comme nul autre roman, la vérité brûlante, sanglante, et surtout humiliante d'une époque rimant avec misère. César Fauxbras livre ici un témoignage bouleversant. Le sordide hôtel pour chômeurs où il nous entraîne existe sûrement dans un coin perdu du XIIIe arrondissement de Paris ; là, le licencié ès lettres Jojo, l'ex-médecin marron Chouard, le ménage Voulaz, la fille Jeannette qui se donne par camaraderie, tous passés maîtres dans l'art du système D et des combines en tout genre, forment un de ces mille îlots perdus dans l'enfer de la grande ville. De galères en situations dramatiques, Thévenin, le narrateur, fait montre d'une ultra-lucidité comme d'une incroyable capacité à déceler l'hypocrisie et débusquer le ridicule ; ne serait-ce que dans la trivialité du quotidien ou dans les méandres d'une administration absurde et inhumaine. Malgré les petits boulots flirtant avec l'illégalité, la lutte des acolytes pour survivre semble vaine. La radiation du chômage les menace tous. La langue de Fauxbras se fait alors drue et corrosive, argotique, brute comme le sujet, son regard sur la société est cinglant. Il donne naissance, par le biais de ce récit intime, à un texte engagé, celui d'un révolté qui laisse transpirer son non-conformisme et un humour noir digne des grands auteurs du genre. Car face à la solitude et au désespoir, seul l'humour pourra les sauver. À moins qu’un pont au-dessus de la Seine ne fasse définitivement l'affaire. Un roman majuscule.

Leo_Mance

a recommandé le livre

, lui a attribué 8/10 et le lit actuellement

Viande à brûler

1935 • livre de César Fauxbras

Résumé : Plongeant le lecteur en plein cœur de la crise de l'entre-deux guerres, ce journal d'un chômeur réussit à toucher, comme nul autre roman, la vérité brûlante, sanglante, et surtout humiliante d'une époque rimant avec misère. César Fauxbras livre ici un témoignage bouleversant. Le sordide hôtel pour chômeurs où il nous entraîne existe sûrement dans un coin perdu du XIIIe arrondissement de Paris ; là, le licencié ès lettres Jojo, l'ex-médecin marron Chouard, le ménage Voulaz, la fille Jeannette qui se donne par camaraderie, tous passés maîtres dans l'art du système D et des combines en tout genre, forment un de ces mille îlots perdus dans l'enfer de la grande ville. De galères en situations dramatiques, Thévenin, le narrateur, fait montre d'une ultra-lucidité comme d'une incroyable capacité à déceler l'hypocrisie et débusquer le ridicule ; ne serait-ce que dans la trivialité du quotidien ou dans les méandres d'une administration absurde et inhumaine. Malgré les petits boulots flirtant avec l'illégalité, la lutte des acolytes pour survivre semble vaine. La radiation du chômage les menace tous. La langue de Fauxbras se fait alors drue et corrosive, argotique, brute comme le sujet, son regard sur la société est cinglant. Il donne naissance, par le biais de ce récit intime, à un texte engagé, celui d'un révolté qui laisse transpirer son non-conformisme et un humour noir digne des grands auteurs du genre. Car face à la solitude et au désespoir, seul l'humour pourra les sauver. À moins qu’un pont au-dessus de la Seine ne fasse définitivement l'affaire. Un roman majuscule.

James Cagney

a attribué 8/10 au livre

Viande à brûler

1935 • livre de César Fauxbras

Résumé : Plongeant le lecteur en plein cœur de la crise de l'entre-deux guerres, ce journal d'un chômeur réussit à toucher, comme nul autre roman, la vérité brûlante, sanglante, et surtout humiliante d'une époque rimant avec misère. César Fauxbras livre ici un témoignage bouleversant. Le sordide hôtel pour chômeurs où il nous entraîne existe sûrement dans un coin perdu du XIIIe arrondissement de Paris ; là, le licencié ès lettres Jojo, l'ex-médecin marron Chouard, le ménage Voulaz, la fille Jeannette qui se donne par camaraderie, tous passés maîtres dans l'art du système D et des combines en tout genre, forment un de ces mille îlots perdus dans l'enfer de la grande ville. De galères en situations dramatiques, Thévenin, le narrateur, fait montre d'une ultra-lucidité comme d'une incroyable capacité à déceler l'hypocrisie et débusquer le ridicule ; ne serait-ce que dans la trivialité du quotidien ou dans les méandres d'une administration absurde et inhumaine. Malgré les petits boulots flirtant avec l'illégalité, la lutte des acolytes pour survivre semble vaine. La radiation du chômage les menace tous. La langue de Fauxbras se fait alors drue et corrosive, argotique, brute comme le sujet, son regard sur la société est cinglant. Il donne naissance, par le biais de ce récit intime, à un texte engagé, celui d'un révolté qui laisse transpirer son non-conformisme et un humour noir digne des grands auteurs du genre. Car face à la solitude et au désespoir, seul l'humour pourra les sauver. À moins qu’un pont au-dessus de la Seine ne fasse définitivement l'affaire. Un roman majuscule.

CheGuevarabe

a envie de lire le livre