Dans la série mou du genou, je demande le commissaire Winter. Non seulement, il ne se passe rien pendant les 400 premières pages, mais l'épilogue est énigmatique. Les intrigues sont quasi inexistantes, le rythme, "gastéropodien". Et le tout est servi par une édition avec des fautes d'accent, de ponctuation, des lettres manquantes. La totale !
chevinwood
3
Écrit par

Créée

le 21 janv. 2012

Critique lue 165 fois

chevinwood

Écrit par

Critique lue 165 fois

Du même critique

La Mer
chevinwood
10

Mais où est donc passé le fabriquant de titres ?

7 nouvelles poétiques : délicates, fines, subtiles, et qui recèlent à chaque fois une part d'incongruité. Ici pas de situation dérangeante ou malsaine comme Ogawa sait si bien le faire. Un livre où...

le 11 mars 2011

5 j'aime

Walter, retour en résistance
chevinwood
10

Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne ?

Ce doc suit pendant quelques mois Walter Bassan, résistant, ancien déporté, optimiste invétéré et passeur de mémoire. Cet homme résiste encore aujourd'hui et nous lance un appel à faire de même pour...

le 27 févr. 2011

5 j'aime