C'est avec un synthétiseur analogique ,une boîte à rythmes et une trompette
que Éric Tabuchi nous introduit dans une atmosphère tropicale et gaie.
Quand Rachel Ortas s'installe sur le premier couplet c'est là que l'on ressent directement la froideur et la mélancolie des paroles ,néanmoins on peut se sentir bercé par la
voix angélique de Rachel.
Tout au long de la chanson on a l'impression d'assister à un témoignage d'une personne
qui sombre lentement dans l'alcool mais également on ressent une certaine volonté presque effacée de lutter contre l'alcoolémie mais elle finit par abandonner à chaque fois
J'essaie de faire le poids mais ça ne marche pas alors je me désaltère
Le plus triste dans toute la chanson c'est le fait qu'elle reste dans le déni , elle sait que ça lui ronge la santé pourtant elle continue. Elle ignore les critiques et dit qu'elle s'en moque mais il y a un tic "son roman c'est du toc".
conclusion ; beau rythme , belles paroles , public absent