Deuxième partie de la Symphony No 3 mais aussi avant-dernier morceau de l'album. Ce Piu Mosso pour le citer de manière un peu plus réductrice dure plus ou moins neuf minutes et est toujours aussi intéressant.
On sent un compositeur qui innove au fur et à mesure et qui propose, en comparaison des autres titres précédents, une composition nettement plus sombre, comme on peut l'entendre sur la fin de la piste. Ca reste toutefois très envoûtant et personnellement, touchant.
D'ailleurs, la composition me rappelle parfois des passages que j'aurais pu entendre dans des films. La fin me rappelle aussi le compositeur de film Georges Delerue.