Lancé dans une enquête visant à découvrir qui étaient ces dames assassinées, tuées, dépouillées, par le tueur en série Thierry Paulin, Cerno nous emmène en réalité ailleurs. A la recherche de l'humanité par les rencontres qu'il fait.
Par petites touches, petites interview l'air de ne pas y toucher, Cerno rencontre des gens, qui ont parfois à voir, parfois non avec le sujet "officiel" de ses podcasts. Mais peu importe, il a l'art, comme personne, de faire parler les gens, de s'en rendre sympathique et c'est ça qu'on attend de ces 30 mn de podcasts à la régularité fluctuante.
Parfois, on en apprend sur les victimes, parfois sur le tueur, avec, notamment un summum en Martinique, à la recherche de la famille, et parfois sur d'autres personnes n'ayant rien à voir avec schmilblick, si ce n'est de trainer dans le quartier. La force de Cerno, c'est de toujours respecter les gens à qui il parle, de les mettre dans une telle confiance qu'ils se livrent complètement, et de nous emmener avec lui.