Yu-Gi-Oh! ARC-V est le cinquième arc sur 6 à être diffusé comme série (un septième est même en cours de conception, mais ma première impression n'est pas si bonne que pour les autres). Vous pouvez aussi aller fouiner dans mes critiques Yu-Gi-Oh!: vous trouverez GX (deuxième arc, mais critique très brève), 5D's (troisième arc), Zexal (quatrième arc) et VRAINS (sixième arc).
Situation initiale
ARC-V met en scène un collégien nommé Yuya Sakaki, qui veut suivre les pas de son père disparu en devenant duelliste de spectacle. Un duel d'exhibition est organisé entre Yuya et le champion local. Yuya est en mauvaise posture face au champion mais il parvient à gagner grâce à une nouvelle méthode d'invocation appelée Pendule. Ce talent suscite la curiosité, en particulier d'un jeune homme aux cheveux gris, qui se révèle être également un pionnier du Pendule.
Le culot du cross-over
Yuya et d'autres personnes intègrent une milice appelée Lancers, dirigée par Reiji, le jeune homme aux cheveux gris. Les Lancers ont pour mission de voyager à travers les dimensions et d'éliminer Academia, une université de la Dimension Fusion qui prévoit d'envahir les autres dimensions. Pour cela, les Lancers doivent aller dans d'autres dimensions pour se faire des alliés. Assez tard dans le scénario (autour de l'épisode 55), Yuya et les autres arrivent dans la Dimension Synchro, directement inspirée de Neo Domino City de 5D's ! Ils vont même avoir l'occasion de rencontrer en personne
Jack Atlas
et
Crow Hogan
qui étaient des personnages importants dans 5D's. Il est cependant regrettable que les personnages qui font un come-back n'ont, pour la plupart, plus rien à voir avec ce qu'ils étaient auparavant.
Ma conclusion
Yu-Gi-Oh! ARC-V souffre peut-être d'un début assez mou et sans objectif concret, mais faire revenir certains personnages emblématiques des arcs précédents est une idée excellente et bien exploitée.
Cette critique est assez brève car je crains de trop rentrer dans les détails et rendre la lecture peu confortable. (148 épisodes à résumer en une seule critique, pas facile)