Après avoir décroché un job chez un grand fabricant de lingerie japonais, une femme s’aperçoit rapidement qu’elle ne tiendra pas longtemps sans un peu d’aide. Dans le rôle principal, on retrouve l’actrice totalement bankable au Japon en ce moment, j’ai nommé Mirei Kiritani. On a pu la voir notamment dans Otomen, Usagi Drop ou encore et Assassination Clasroom.
De son titre original, Underwear, Atelier est une série composée de 13 épisodes réalisée principalement en studio, filmée comme une sitcom et surjouée comme dans beaucoup de dramas japonais. Ça passe ou ça casse à ce niveau. Des défauts sur lesquels on pourrait passer si le scénario nous tenait un temps soit peu en haleine. Ce qui n’est pas le cas. Si les thèmatiques sont nombreuses et l’évolution du personnage (très cruche au début) sont notable faut-il encore qu’on en ait quelque chose à faire.
Je me suis profondément ennuyée, les déboires de la jeune femme ne m’ont jamais intéressés, ni les sous intrigues des autres personnages de la série. C’est mignon, charmant, mais ça s’arrête là.