Si Dallas n’a plus rien à prouver, tout reste à faire pour Beartown. Partant quasiment pourtant des mêmes ingrédients (travail, argent, famille…), la série s’enlise dans le seul élément qu’elle n’a pas en commun avec son non-homologue made in US : la neige.
Dans Dallas, tu as le pétrole, à Beartown, c’est le hockey. Et comme Dallas avant elle, la série lie famille, argent et travail, parce que le hockey tout seul, pour une série, soyons honnêtes, ça ne rassemblerait pas grand monde.
Et pourtant Beartown m'a laissée de glace... Si certaines séries font de leur simplicité de ton ou d’un scénario habilement construit une réelle force, ici ce n'est pas le cas. Dans Dallas au moins on avait le vrai gros méchant J.R., des vrais gentils complètement niais et une vraie alcoolique. Peu importe que vous soyez fan de Bjorn Borg ou simplement de hockey, dans Beartown, on meuble, on meuble. Ikea n’a qu’à bien se tenir.
Viens je t'explique en détail pourquoi Dallas c'est mieux