Les garçons du boy’s band Johnny’s West incarnent une bande déjantée de lycéens transférés, recrutés pour une mystérieuse mission commanditée par leur énigmatique directeur.
Le format est le même huit épisodes de trente min environ avec des effets spéciaux tcheaps.
Cette série n’est pas l’adaptation du manga Honô no Tenkôsei de Kazuhiko Shimamoto, mais sa suite avec de nouveaux personnages. Le manga compte 12 tomes tous inédit en France. La série fut publiée entre 1984 et 1986 aux éditions Shôgakukan au Japon.
C’est sans doute trop WTF pour moi, mais je n’ai pas réussi à dépasser les premiers épisodes. Peut-être parce que je ne connais pas la série originale qui l’a inspiré je ne sais pas. En tous les cas je suis restée trop de marbre devant ce spectacle sans queue ni tête. Pourtant j’étais impatiente d’enfin voir un drama avec des Johnny’s sur Netflix même s’il s’agit d’un groupe assez peu connu de cette écurie…
Petite déception donc pour Blazing tranfer students qui promettait pourtant d’être une bonne série.