Tout les pays ont connu un douloureux et misérable passé, mais j'ai ressenti dans Dororo celui du Japon de l'ere Edo comme un film d'horreur ou il est plus rare de voir des gens avec leurs 2 bras et leurs 2 jambes que l'inverse. Des contours noir sans espoir, la pauvreté et la détresse sur fond de poésie grotesque..(les monstres)d'ailleurs,fantastique a préciser.... tout le monde interpréte pas ca comme la volonté maléfique des hommes ou la matérialisation des croyances .
J'ai pas trouvé que Dororo apportait plus de fraîcheur a cet enfer, c'est juste un enfants de plus livré a lui même qui tombe sur la plus divertissante des distractions ->Hyakkima-chan, petit spoiler au passage, vous découvrirez pas sa personnalité avec sa quête des sens que j'ai trouver comme un hors serie continuel mais bon, c'etait bien plus intéressant que la fameuse rencontre avec son histoire malheureusement