En Verre et Contre Tous/Blown Away est l'émission-compétition classique.
Le métier de souffleur de verre est simplement époustouflant à voir. Chaque épisode a son lot de wallpapers a faire.
J'apprécie grandement l'absence de drama. Il n'y a aucune longueur : on reste sur le soufflage de verre du début jusqu'à la fin des 20 minutes.
Maintenant, la série souffre d'un système de jugements moisi :
Le présentateur, au rôle discutable de prime abord, juge les candidats au même titre que Madame Gray ?!
Les œuvres ne sont pas anonymes, bonjour le favoritisme. (Deborah en premier lieu, Janusz un peu quand même)
Je suis particulièrement perplexe vis-à-vis du traitement de Momo. La barrière culturelle semble présente malgré le professionnalisme du jury (Sauf le présentateur évidemment) et cette candidate aurait dû aller plus loin.
Enfin, comme le titre de ma critique l'indique : au secours Deborah.
Cette femme est l'incarnation vivante des stéréotypes anti-femministe : les conflits hommes-femmes sont l'Alpha et l'Omega de sa vie et de son art, tous les autres candidats et leurs oeuvres sont moins bons qu'elles et son comportement aussi bien vis-à-vis des autres candidats que de ses assistants est à revoir.
Mais vous comprenez, Madame Frey commence à motiver sa décision en disant que Janusz est le meilleur Glassblower avant d'attribuer la victoire à Deborah...
Bien joué Netflix, RIP Alexander.