J’ai littéralement dévoré Good Morning Call, comme je le disais plus haut c’est bourré de défauts, mais mystérieusement ça fonctionne. Je retrouve avec cette série ce que j’aime dans les dramas, une sorte de fraîcheur qu’on ne retrouve pas ailleurs. Alors il est évident que ça ne plaira pas à tout le monde, surtout si vous voulez un peu de réalisme, un bon jeu et réalisation léchée.
Yoshikawa Nao, une jeune fille tout à fait banale, décide de vivre seule dans un appartement pour éviter de devoir déménager avec ses parents. Elle a déjà trouvé un appartement parfait pour elle, assez grand et à très bon prix. Mais voilà quand arrivant dans sa nouvelle maison, elle rencontre un jeune homme, Uehara Hisashi, qui clame que cet appartement est le sien. Les deux adolescents tenteront de régler ce malentendu, mais, bien évidemment, il leur sera impossible de joindre le responsable du loft. Pour couronner le tout, la propriétaire, une vieille dame à l’air sympathique, leur annonce que l’appartement coûte en fait beaucoup plus cher que le prix qu’on leur avait donné. Aucun des deux jeunes gens ne voulant abandonner et le loyer étant de toute manière trop cher pour qu’un des deux puisse le payer seul, les adolescents seront forcés de cohabiter, pour le meilleur et pour le pire.
Mais qu’importe l’histoire de Nao et Hisashi est addictive. Tellement que j’ai voulu lire le manga ainsi que sa suite (Good Morning Kiss), hélas aucune publication française n’existe.