Pourquoi les scénaristes ont appelé la série « bonheur », c’est un mystère. À part une minuscule mention lors d’un dialogue avec un zombie, et qui n’est pas exploitée du tout dans le scénario.
L’idée de faire un parallèle avec le Covid était intéressante, la peur de la maladie, le confinement, les gestes barrière, les stocks de nourriture, etc.
Mais l’histoire est totalement truffée d’invraisemblances et ça gâche tout. Déjà au bout de trois épisodes ça s’accumule et c’est peu de le dire! Les rebondissements ne font bondir personne, chacun sait quelque chose mais ne dit surtout rien, on reconnaît un infecté mais on le laisse tranquille, la situation soit disant critique mais pas un chat en vue, etc. quand au téléphone hurlant qu’on met dix minutes à éteindre… C’est grotesque il n’y a pas d’autre mot.
Les personnages sont ennuyeux, les dialogues insipides, j’avoue avoir voulu laisser le bénéfice du doute et attendu que l’action démarre mais en vain.
Franchement, faites l’impasse sur cette série vous ne manquerez rien.