Beaucoup de bonnes choses cette année, parmis elles Kyokou Suiri met la barre bien haute, avec un univers de caractères originaux dynamiques et attachant introduit progressivement dans une intrigue farfelue mais qui semble etre propice a une relation tout aussi farfelue. Un chara design époustouflant, on découvre encore un nouvelle exercice dessinatoire qui revele des apparences physique réaliste reconnue remarquablement bien reproduit (hors mis cette histoire d'oeil bien sur) c'est plutot Kurou qui m'a tapé dans l'oeil avec les siens à peine ouvert, battant de leger sourcillement avec une gestuelle precise sans sur jeu à la limite de l'inexpressivité, c'est pas l'expression d'une experience de longévité dû à l'immortalité mais celle de la mort en elle meme, et sa résurrection (supposition) je me suis ravisé sur la note au moment de l’enquête sur Nanase, on est totalement dans le type de raisonnement du genre polar qui me gonfle et qui dure 1000ans par pédagogie inévitable et la stratégie de Iwanaga insupportablement indigeste à subir