WAH JE SUIS DEG.
Tout commençait pourtant bien avec cette mini série norvégienne découpée en chapitres assez originaux puisqu'on change de point de vue à chaque nouvel épisode au lieu de suivre les policiers comme c'est l'usage dans les oeuvres du genre. Les suspects, avocats, policiers et médias forment un système dont on suppose que les interactions, bien que timides au départ, vont s'intensifier au fur et à mesure pour nous emmener inexorablement vers la vérité de cette violente disparation, inspirée de faits réels qui plus est.
Mais non. Ça reste mou, lent, un peu caricatural et cousu de fil blanc jusqu'à la fin, qui nous prive d'ailleurs de dénouement.
Quel dommage.