Magique.Tragique.

Ah,Saint seiya.C'est mon manga préféré,voire méme mon animé favoris tout court.J'ai découvert ce chef d'oeuvres en des temps reculé,au moment de l'enfance,vers 1996 ou 97.L'enfant de sept ou huit ans que j'était avait totalement accroché a ces histoires d'orphelins au pouvoir fantastiques grand comme l'univers,de déesse grecque protectrice du monde et de ces affrontements au denoument tragiques.

Car saint seiya peut représenté a lui seule toute la force et l'émotion que peut procuré ce genre de fiction.Un groupe d'amis soudé,sollidaire,réunis autour d'une méme cause,un méme but,tombé les uns aprés les autres,sur des musiques d'une tristesse sans fin,dans des combat contre des enemis qui ne sont bien souvent pas de parfait inconnue,est quelques choses de fort,qui marque lorsque l'on est encore minot.

J'ai toujour adoré toute les batailles de ce manga,du sanctuaire a poseidon,en passant par asgard.Ma préférence revient a la traversé (légendaire) des douzes temples du zodiaques.La série y trouve sont apogée durant le combat contre le capricorne puis le verseau.La mort de Shiryu puis de Hyoga.J'en est versé des larmes,mémes aujourd'hui, devant l'intérieur du temple du verseau,entirément gelé par le choc des éxécutions de l'aurore,ou Camus félicite sont disciples et se rend compte de sont erreur avant de succomber.Cette une oeuvre qui véhicule des valeurs que les déssins animé aseptisé,désinvolte et lobotomisant d'aujourd'hui en sont totalement dépourvue.

Symbole d'une époque hélas révolue,majestieu dans ses combats,sa puissance émotionelle,ses personnages attachant,ses principes véhiculé,voire encore ses références a la mythologie ou a la culture.Adulé par plusieurs générations entiéres de fans,culte a en mourir,il laisse finalement un gout plutot amer en bouche,que l'oeuvre principale de kurumada ne soit pas plus connue de par le monde,restant depuis les annés 80 dans l'ombre du mono-neuroneux Dragon ball Z.