Malcolm est bien plus qu'une simple série pour moi. Elle a été un phare lumineux dans l'obscurité de la crise du Covid, me guidant à travers des moments difficiles et incertains (période à laquelle je l'ai découverte). Dès le tout premier épisode, j'ai été happé par son humour irrésistible et ses personnages attachants.
Au fil des saisons, j'ai vu et revu chaque épisode avec ma famille, partageant des éclats de rire devant les situations loufoques dans lesquelles se retrouvent les membres de la famille de Malcolm. Mais la série ne se contente pas de nous faire rire. Elle nous touche également en plein cœur, nous faisant ressentir toute la gamme des émotions humaines, de la joie à la tristesse en passant par la peur.
Cette famille est devenue une extension de la mienne pendant au moins trois ou quatre ans, et chaque fois que je replonge dans ses aventures, c'est comme retrouver des amis de longue date. Les personnages sont si bien écrits et interprétés qu'on s'attache à eux presque instantanément, et on se surprend à partager leurs joies et leurs peines comme si elles étaient les nôtres.
Bien sûr, comme dans toute série, il y a des épisodes plus forts que d'autres, mais même les moins bons ont leur charme et leur lot de moments mémorables. Et au cœur de tout cela se trouve Hal, le patriarche excentrique et hilarant de la famille. Son caractère loufoque et ses répliques mémorables en font incontestablement le personnage le plus mémorable de la série. Qui d'autre aurait pu ne pas travailler tous les vendredis pendant plus de 15 ans ? (ahaha)
En fin de compte, la série reste un véritable plaisir à regarder, encore et encore. Cette série a la capacité rare de nous faire rire, pleurer et réfléchir, tout en nous donnant l'impression de faire partie intégrante de la famille. Elle restera à jamais une partie importante de ma vie, et je suis reconnaissant d'avoir eu l'occasion de partager ces moments inoubliables avec ceux que j'aime.