New York, New York
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le 22 nov. 2015
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On va faire des phrases sous des tirets et ça fera une critique.
Tiret 1 - C'est court. Je concède le côté bancal de ce premier argument, mais entre les épisodes de quarante minutes à une heure de la plupart des séries, j'avoue tout, l'idée de dix épisodes de trente minutes m'aurait vendu même le pire des scénarios. Heureusement la série s'en fort plutôt bien au final mais on verra ça plus bas.
Tiret 2 - C'est frais. J'aime les séries, j'en regarde un lot minimum et peut-être pas les bonnes me direz-vous mais une série qui parle pas de ni de fantasy ni d'histoire le tout sans être une reprise c'est assez rare. Dans Master of None un épisode égal un aspect de la vie de tous les jours décortiqué, ça veut pas de mal c'est agréable.
Tiret 3- C'est actuel. Oui ça a des allures de one-man show organisé, oui les quelques relents d'humour américain piquent parfois le nez et oui y'a des moments mielleux tout plein qui font surement plaisir à certains et en font soupirer grossièrement d'autres mais voilà c'est nous. Des minorités en marge, du racisme (assez léger), des gens jamais débranchés, de l'urbain, des amis, des amours 2.0. C'est peut-être pas toi du tout mais c'est là.
Alors j'ai aimé, j'ai souri, j'ai levé les yeux au ciel, eu des petits pincements au cœur et réfléchi. Et j'ai bien aimé. Et si ça pouvait continuer un peu je dirais pas non.
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Créée
le 19 déc. 2015
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