money treats you badly
encore une fois l'argent sale, un jeune agneau devient loup par fidélité filiale . ça n'est pas sans rappeler James Gray et son film Odessa, mais c'est très loin derrière. malgré une histoire...
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le 16 avr. 2018
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Pas carrément un navet mais cette série est loin d'être la meilleure pour James Norton. Série bilingue russe/anglais, la plupart des protagonistes étant supposé être russophone, y compris James Norton lui même qui parle russe comme moi je suis danseuse de claquette. C'est une des raisons pour laquelle le personnage sonne faux . Élevé à Londres dans une famille de richissimes mafieux russe, qui ne parlent que le russe, y compris la soeurette, lui, Alex Godman se refuse à parler russe, ce qui donne des dialogues russes-anglais, ou la famille faisant fi des voeux anglophiles du rejeton continue de s'exprimer en russe, y compris à Alex lequel indéniablement répond en anglais. Même type de comportement avec les autres personnages, russophones mais avec lesquels les dialogues passent en permanence d'une langue à l'autre. Contrairement aux personnages russes ou latins, volubiles , Norton conserve son flegme britannique y compris dans les situations les plus délicates. On a même la sensation, que c'est le benêt le plus riche car il est tout de même banquier de son état. Outre les flashs sur les paysages des différents pays et palaces dans lesquels évoluent nos artistes.. L'intérêt de cette série réside à étudier l'évolution de ce banquier qui, refuse l'héritage familial et souhaite rester honnête si on peut dire que ce soit compatible avec sa profession et sa famille, vers le lent et inéluctable glissement sur les traces de son père. La mère, tente de persuader Rebecca laquelle deviendra finalement comme elle, la fidèle épouse.
Créée
le 22 juil. 2020
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