En général, je me laisse le premier épisode pour me faire à l'idée si c'est une série qui va me plaire ou non. Je laisse aussi une immunité pour les séries britanniques qui restent clairement qualitatives. Mais pour Mood, le premier épisode, je l'ai trouvé assez quelconque autour du personnage de Sasha, une jeune femme, en pleine crise existentielle dans sa famille, qui se rêve rappeuse et qui du jour au lendemain se retrouve à la rue, virée par sa mère et son beau-père.
Dès le second épisode, effectivement, ça commence à devenir intéressant, Mood se fait aider par une de ses potes, Carly, une cameuse sur Internet, qu'elle va commencer à aider dans ses prestations tarifiées, virtuelles et parfois réelles. Pour la suite de la série, Sasha va s'enfoncer au côté de Carly dans l'argent facile c'est-à-dire des contenus sur un espèce de site type OF et surtout des prestations tarifées réelles, dans des soirées mondaines et dans des villas paradisiaques.
Je ne pensais pas que ça allait se déverrouiller autant et que le personnage passe de rappeuse à en devenir à prostituée de luxe et c'est peut-être la facilité à laquelle ont pensé les scénaristes de la série.