Pretty Little Liars par Camille L.
Je m'attendais à un nouveau Veronica Mars en version un peu plus "girly-glamour", et finalement on est plus proche d'un "Gossip Girl" version """""polar""""".
Les personnages sont bêtes à bouffer du foin (et vas-y que je crois ce que le premier venu me raconte sans me poser de question), leurs relations sont totalement cucul (quand elles ne sont pas moralement répréhensibles), l'intrigue de base et les intrigues annexes sont tout ce qu'il y a de plus bancal, et évidemment, tout comme dans Gossip Girl, on ne saura probablement jamais qui-est-le-grand-méchant-qui-fait-peur-à-tout-le-monde (mais je n'en suis qu'à la saison 2 hein.)
MAIS.
Mais comme dans Gossip Girl, cette série reste fichtrement addictive. C'est certainement dû à mon petit coeur d'adolescente attardée, aux abdos du casting masculin et au fait que cette série sait accrocher son public en sachant aborder toutes les mini-intrigues/romances dans chacun des épisodes quand d'autres séries ont parfois tendance à les mettre entre parenthèses.
Oui, oui, j'ai honte.