Le casting est inégal, les épisodes aussi, la série confond parfois libertinage et grivoiserie, mais il s'en dégage un curieux parfum d'authenticité et de liberté. J'étais dithyrambique au tout début, mais la série peine un peu à trouver un second souffle dans sa 2e partie.
On passe en tout cas un bon moment, les dialogues font mouche (comme dans beaucoup de séries anglaises) et on a rapidement hâte de voir comment tout cela va évoluer.
Un bon divertissement, en gros, idéal pour une morose soirée d'automne. À noter que la photographie de cette série sort de l'ordinaire, sans doute en raison des jeux de couleurs.