Star Wars Visions Saison 2, j’en ai pensé quoi ? J’avais beaucoup aimé la 1ière saison et j’ai aussi beaucoup aimé cette seconde salve d’épisodes. Malgré tout, j’ai moins apprécié celle-ci.
Le concept de Star Wars Visions c’est de faire des court-métrages liés à l’univers Star Wars tout en étant pas canon. Plusieurs studios sont choisis, chacun faisant son propre épisode. Dans la 1ière saison, il n’y avait que des studios japonais, chacun ayant sa propre patte artistique. Cette 2nde saison s’élargit davantage avec des studios venant du monde entier, Espagne, Irlande, Chili, Angleterre, Corée du Sud, France, Inde, Japon et Afrique du Sud.
On voit encore plus les différences, chacun a vraiment réussi à s’approprier l’univers Star Wars à sa sauce. Avec des designs complétement différents, des histoires plus ou moins intéressantes, des doublages plus ou moins réussis. On sent quand même des idées communes en matière de scénarios, on tourne beaucoup autour de la découverte de la Force chez des enfants et des cristaux Kyber.
Quelques mots sur chaque épisode.
Sith : un thème intéressant sur une ancienne Sith, on met en avant l’art de la peinture à travers la force, très belle réalisation.
La caverne des hurlements : un conte surprenant, plein d’émotion, avec même un peu d’horreur et au design incroyable.
Dans les étoiles : scénario simpliste un peu politico-écolo mais une ambiance oppressante et un design très réussi.
Je suis ta mère : un style visuel que l’on connaît et qui est génial mais une histoire extrêmement simple et légère.
Voyage au bout des ténèbres : le thème de la dualité côté lumineux et obscur très bien traité, visuels bluffants avec des scènes d’action spectaculaires.
L’espionne qui dansait : on s’inspire d’une vraie personnalité, une histoire intéressante qui met en avant des thèmes pas assez exploité (l’occupation), on met en avant l’art et on a surtout un design magnifique.
Les bandits de Golak : une histoire simpliste, une animation pas folle, mais l’ambiance bollywood fonctionne et la fin est réussie.
Le trou : un design plus classique, une histoire simpliste, rien d’exceptionnel.
La chanson d’Aau : superbe design original, une histoire sympathique qui met en avant le chant.