Stargate SG-1 par Akshell
Une recette simple : Amour, Humour, Action, le tout moyennement écrit, joué et réalisé. Difficile de simuler des centaines de mondes quand le seul décors naturel disponible est la forêt de Vancouver, space opera cheap adapté du film « Stargate », il est devenu le « Star Trek » des années 90/2000.
Au départ constitué de simples épisodes indépendants, la série se termine péniblement sur de longs arcs narratifs grandiloquent à la « Dragon Ball Z » : à chaque saison un personnage atteint un nouvel état de conscience supérieur éthéré et revient combattre le nouveau méchant encore plus méchant et puissant que le précédent.
Conscient du ridicule les scénaristes ont tenté d'y insuffler un peu de second degré, mais l'ironie s'émousse vite et rend le visionnage encore plus pénible.
La série aura duré 10 longues saisons, engendrant deux spin-off « Stargate : Atlantis » et « Stargate Universe » et tout une série de téléfilms fan-services.