Un des seuls drama que je n'ai pas fini, je n'ai pas eu la force morale.
"Le diable s'habille en Prada coréen" more like "Le diable s'habille en Pimkie".
Au début ça commençait bien, on retrouve la conne de service pauvre (pour changer) qui veut être publiée dans un magazine de mode pour pouffes. Ça fait des mois qu'elle rame à faire toutes les basses besognes de stagiaire donc elle commence à en avoir marre et pète un cable "oh une rebelle !". Sauf que non, cinq minutes plus tard on la voit faire la carpette devant l'éditrice en chef adjointe qui lui marche dessus avec ses talons de 15 cm lui créant ainsi un deuxième trou de balle.
Ensuite c'est le truc classique du "je fais tout ce qu'on me dit et je ferme ma gueuler, mais je n'oublie pas d'être conne hein", arrive un prince charmant cuisinier dont la niaiseuse va s'éprendre.
Il revient d'amérique où il était trop populaire, que vient-il faire à Seoul alors qu'il est bien installé à New-York. Et bien il vient FOUTRE LA MERDE T'ENTENDS ? Enfin non, il fait pas trop exprès en fait. mais un peu quand même. Attention spoil !
Pour faire vite, la principale actionnaire du magazine est la fille d'un gros ponte de la société seoulienne, ce gros ponte est allé fricoter avec une top model trop hyper bonne il y a une trentaine d'années, et quand papa va dans maman après ça fait des chocapics. Devinez qui est le chocapic ? LE CUISINIER OUAIS !
Ajoutons à cela que le cuisinier il a fourré une dinde qui maintenant est éditrice en chef adjointe. Ouuuhhh !
Attendez c'est pas fini. Le vieux papa il va passer l'arme à gauche, devinez à qui il refile son magazine ? AU CUISINIER OUAIS ! Depuis la boss elle a les naseaux qui fument, la dinde fourrée aussi et la niaiseuse elle est aux anges.
Dommage pour elle le cuisinier et la dinde vont remettre ça à coup de crème de marrons et de purée de patates douces. (aka je t'aime mais je te fous un pain dans la gueule)
Moi je m'en suis arrêtée là, ça devenait fatiguant, la niaiseuse est trop niaiseuse, j'avais des envies de lui éclater la tête à coups de pioche, ne parlons pas du cuisiniais, qui bien qu'il vienne foutre la merde est d'une mièvrerie insupportable. La seule personne cool la dedans est l'éditrice en chef adjointe qui a trop la classe.
Bref, déception extrême.