Quand le soleil proute, il fait chaud sur Terre
Cette tempête solaire reprend la même recette que tous les films catastrophe du genre, linéaire avec des pics de tension sans oublier les querelles familiales qui, face à l'adversité, se règlent à grand renfort de "je t'aime" et de pardon.
Comme toujours, c'est une capitale européenne qui morfle le plus en premier. Quand ce n'est pas Paris qui explose c'est Londres qui brule. Comme toujours, un seul et unique scientifique américain détient les clés du salut de la race humaine. Comme toujours l'emballage pseudo-scientifique n'a pour unique but que de rendre l'ensemble cohérent.
Une énième redite ni pire ni meilleure que les autres, à voir à l'occasion.