Les 3 épisodes du jeudi 28f d'arte, définis comme une minis séries de 3 épisodes, j'irai que dans les défauts car ce que vous lirez dans la presse ne vous citerais que d'éloges pour la subtilité et silence et de conflit intérieur rendus avec "légeter", une romance glace.
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Le son extra diégétique a coup d'acouphène et de violoncelle pour superposer la tension épuré est utiliser a outrance, on y retrouve les même carquois vestimentaires, les personnages secondaires appartiennent a une vielle diégèse user, les même déclic aux dialogues, et les morts et méchants auront les faciès que les premiers films du même genre, c'est avec les vieux pots que l'on f... Non.
C'est comme de la techno minimaliste, il y as une envoler qui retombe quelques peu altérer mais sans coup d'éclat, ce n'est une série creuse mais disons qu'il n'y as rien de lyrique, une série pour les amateurs de boudin cuit, sur planche en lynox servie avec la boissons qui conviendra a votre rôle ou qui pourrait être franchement bien adapter comme histoire sonore a la radio.