J'ai eu de la chance, beaucoup de chance car j'ai commencé le visionnage de The OA de façon très impulsive, après une recommandation sur un forum que je fréquente.
Le coup de foudre à été instantané. Peut-être dû à sa direction artistique bien léchée, ou bien à cette façon si conventionnelle et pourtant différente de raconter son histoire.
Cette série, c'est une grosse leçon de storytelling. Que l'on accroche ou non à l'histoire, cela ne change à rien au fait que dès le lancement d'un épisode, on se retrouve plongé dans un univers maîtrisé, avec des personnages qui se distinguent ou non, et qui évoluent de façon exponentielle, ou non. Là est toute la complexité de cette œuvre. Les personnages, leurs actions et les histoires parallèles se croisent, s'entrechoquent et s'embrassent. C'est bien l'une des rares fois où j'ai été témoins d'une histoire contenant autant d'émotion, d'actions, de vérités, de mensonges et d'irréel.
The OA, c'est à la fois une belle leçon de storytelling et une expérience à la frontière du réel.
Bref, un très bon moyen de passer el temps en attendant la sortie de Twin Peaks.