Alors voilà, un scénario qui vous intrigue, un personnage un peu trop mystérieux, mais qui cèle franchise sous mystère, de déplorables faquins qui se prennent pour des rois, la saison 1 est fantastique. La 2 reste très honnête même si, comme pour les 1ers albums d!un groupe connu, on sait que les meilleures feuilles et notes sont tombées au premier automne, car elles n'en pouvaient plus de tenir. La saison 3 en revanche, quelle honte! Même dans ce monde qui se veut d'ailleurs, on retrouve les rengaines trans et homophiles etc. Je n'ai rien contre personne, à vrai dire tant que ça ne nuit pas au récit, ou encore mieux, que ça lui apporte. juste qu'on ne m'en veuille pas de ne pas vouloir m'identifier à ceux qui n'ont pas mon genre. Eux refusent le mien avec véhémence d'ailleurs (vécu plusieurs fois). Mais il faut, avec modernité, accepter les différentes desinences de l'autre. Sauf quand ça nuit au récit. Franchement, moi qui adorais cette série initialement je n'ai pu supporter le gavage moral imposé, qui ote tout sens au mince fil scénaristique qui subsistait. Je ne suis pas une oie. J'ai pas fini la 3e saison. Je suis passé aux Peaky Blinders. La j'ai pas été déçu, saison 6, surtout les 3 premiers épisodes. Là pas de wokisme, pas d'homophilie particulière, les femmes ont un rôle toujours plus important que celui que l'histoire générale leur attribue et pourtant cela reste feutré, réaliste pour l'époque, je ne demande que ça ( pas la femme eu foyer, qui en reve encore?, moi je veux juste la vérité historique), les femmes ont toujours eu un role essentiel, voire prépondérant, et c'est justement très juste de le souligner, d'où le perdonnage de Polly dans Peaky blinders). Soyons vrais et soyons justes. PARIS s'éveillera et nous avec des lors qu'on arrêtera de se regarder le nombril en croyant qu'il est centre du monde. Oublions nos différences, ne soyons pas obnubils par nous mêmes,. Concentrons nous sur ces valeurs qui nounous semblent si évidentes, le truc qui nous unit