Une étoile pour Tomer Sisley. Une étoile pour Andreas Pietschmann. Une étoile pour Eden Ducourant. Je n'ai jamais trouvé beaucoup de talent à Julie Gayet, mais ce n'est que mon avis.
Aloooooors... En vrac :
Histoire pseudo policière, je suis navrée pour Cyril Gueï dont j'apprécie le talent qui fait ici de la figuration, où de jeunes adultes "sur le papier" se comportent comme des ados décérébrés trop (?) indépendants, et leurs parents "sur le papier" qui se comportent comme des ados attardés. Ceux-ci passent leur temps à se flageller complaisamment en s'excusant avec des trémolos dans la voix (en allemand et en français) devant les reproches moralisateurs déstabilisants de leurs rejetons. Le must : contempler le visage de "Mater Dolorosa" de Julie Gayet, même quand... Passons.
Au milieu de ce fatras baignant dans une moraline consistante, nous avons le couplet sur les immigrés illégaux qu'il faut absolument aider, une conscience morale et une honnêteté à géométries délirantes (la variabilité, trop sage, s'est fait la malle), j'en passe et des meilleures.
Loin d'être une naïve bigote, mes séries préférées étant l’intense et sulfureuses "Hannibal" et "Millenium", je m’inquiète devant la redondance suivante : on pardonne tout sous de fallacieux prétextes.
A vous de voir :-)