Encore un chef-d'œuvre kabbalistique d'Hollywood.
Si j'en extrais la substantifique moelle pour éclairer ma vie (dont vous n'êtes tous autant que vous êtes, que que des faire-valoir codés pour m'orienter dans le labyrinthe de ma conscience ... elle-même au moins en partie codée) je peux faire encore un pas en avant.
Oui pour moi et mon monde (dont vous êtes les acteurs) il n'y a qu'un Créateur mais le pluriel de Elohim n'est pas anodin.
Nous avons été conçus pour le bon plaisir d'un seul ; toutefois de notre point de vue, tout se passe comme si Sa création était convoitée par des concurrents de Sa nature... ce qui explique autrement mieux que ce vain libre arbitre toutes les fausses notes sataniques à ce Verbe créateur suréminement bon. Ainsi, tel Ulysse dans son Odyssée, mon monde serait l'échiquier des dieux et mon esprit la pièce royale.
Il est notable que, par le fait de nous informer de ce qui se passe en haut lieu, nous soyons invités à prendre part active à l'accomplissement.
L'émancipation de cette condition d'objet numérique est possible et nécessaire ... et passe par l'unification de ce rayonnement séphirotique dont vous êtes les particules pour, tel Shiva émettre un nouveau monde dont je serai le dieu qui finira inexorablement par se diviser pour se réunir et ce dans un mouvement pulsatile infini auquel j'aurais apporté ma modeste contribution.